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des bleus à l'âme (++) L O U V E
Invité
Jeu 29 Juin - 17:49
Anonymous
Arriver après le couvre-feu, check. Pas que j'en ai quelque chose à faire à dire vrai ; mais il y a arriver après le couvre-feu et lui niquer sa race. Y a une légère nuance entre les deux. En l'occurrence, le couvre-feu, je l'ai carrément violé là. Je lui ai roulé dessus et j'ai fait un feu de joie avec ses restes.
Pas que ce soit totalement de ma faute non plus. Si j'avais un logement en ville je pourrais y loger dans ces moments-là ; ceux qui surviennent au retour de mes voyages en tant que chasseuse de tête, quand j'arrive à une heure particulièrement avancée de la soirée... Qui s'approche plus de la matinée que de la soirée.
Fasse que mes colocs dorment très profondément.
Fasse que je ne les réveille pas, aussi... Si elles sont toutes les deux-là. Peut-être seront-elles avec leur famille, qui sait. Ce serait fort appréciable.
Je pourrais même faire une connerie ou deux, comme ça.
J'en ai besoin.
Besoin d'arrêter d'avoir mal, d'arrêter la nausée, d'arrêter cette asphyxie - je me noie. J'ai la tête qui tourne de mon malaise profond, je suis malade de moi-même, malade de ce monde qui me bouffe et des ombres qui dansent sur ma colonne vertébrale. Ce besoin me brûle la peau, les poumons, l'esprit ; besoin de ma dose d'oubli, d'euphorie artificielle. Oublier les regards, effacer les hauts le cœur ; nier les plaies béantes, aussi. J'ai besoin de solitude et d'oubli. Besoin d'être en tête-à-tête avec mon pire ennemi ; moi-même.
La clé se tourne dans la serrure ; je grimace. Allez, solitude s'il vous plaît, douce solitude.
Ma prière n'a pas été entendue.
Et en plus, je crois que je l'ai réveillée.
L'ai réveillée ?
– Oh... coucou. désolée, je ne voulais pas te réveiller.
J'essaie de ne pas élever la voix, pas réflexe. Elle a déjà les yeux à moitié ouverts après-tout. Et elle semble pas prête à se rendormir. J'allume la lumière ou pas ? On va épargner ses yeux peut-être.
Invité
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Louve Crawford
Sam 1 Juil - 19:24
Louve Crawford
Lord & Lady
Messages : 65
Age : 26
Multi-comptes : Lysandre S. Chevalier
◄► Des bleu à l'âme ◄►
Discomfort, endlessly has pulled itself upon me distracting, reacting. Against my will I stand beside my own reflection, it's haunting how I can't seem to find myself again, my walls are closing in.
(Without a sense of confidence, I'm convinced that there's just too much pressure to take)
I've felt this way before, so insecure. Crawling in my skin, these wounds they will not heal. Fear is how I fall, confusing what is real.
Oh sweet loneliness.
Quand tu étais rentrée dans l’enceinte du dortoir ce soir là, tu n’y avais trouvé que calme et solitude. Visiblement tes colocataires étaient aux abonnés absents … Pas particulièrement étonnant ceci dit, la période étant aux retrouvailles de famille. Puis, Titania n’est pas le genre de colocataire qu’on s’inquiète de ne pas trouver dans sa chambre en rentrant. Après tout, le rôle de chasseuse de tête l’oblige à des excursions aussi récurrentes qu’aléatoires, alors tu avais cessé de prendre pour acquis le fait qu’elle dormirait avec vous tous les soirs depuis un certain maintenant.
Ton sac déposé dans ton coin, tu avais décidé de mettre à profit le fait d’avoir la chambre pour toi seule. Musique en route, tu avais laissé tomber ton arrière train dans ton lit avec la grâce des hippopotames en tutu de Fantasia. Tes cheveux rangés derrière ton oreille, sagement, il ne t’avais fallu que quelques minutes pour attraper l’oeuvre posée sur ta table de nuit et te plonger dedans. Tes yeux suivent les lignes, tes doigts tournent les pages et ton esprit se perd entre ces mots. Tu en perds toute notion de lieu et de temps.

Il fait nuit noire quand tu lèves enfin tes iris, l’air hébétée de celle qui revient d’un autre monde et qui n’a pas encore tout à fait la transition accroché à ta bouille. Ta main vient frotter ton oeil et un regard bref vers l’heure te convainc qu’il est définitivement temps de céder à Morphée. Plutôt deux fois qu’une même. Ton pyjama est enfilé en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la musique éteinte et tu te laisse glisser dans tes draps et l'étreinte confortable du sommeil.
*clic*
Tu as l’impression d’avoir à peine fermé les yeux quand le son d’une clé tournant dans ta serrure raisonne dans le silence de la chambre vide. Oh. Tu te redresse légèrement, ton regard endormi se portant sur la raie de lumière à l’entrée. Un murmure ensommeillé passe tes lèvres.

▬ … Titi ?


Devant la porte, à peine éclairée, c’est bien la silhouette de Titania qui se découpe et tu ne peux t’empêcher de te demander quelle heure il peut bien être. Tu n’es pas sa mère Louve, ce n’est pas à toi de gérer l’heure à laquelle elle rentre.

▬ Oh... coucou. désolée, je ne voulais pas te réveiller.


Tu secoue la tête, doucement, étouffe un bâillement avec la paume de ta main et finit de te redresser. La blonde est toujours devant la porte, la lumière éteinte, et tu sourit doucement.

▬ C’est rien t’en fais pas. T’étais partie recruter quelqu’un ? Ca c’est bien passé ?


Si ce n’était pour ta voix, rauque et encore pleine de sommeil, une telle avalanche de questions aurait bien pu pousser à croire que tu étais entièrement éveillée avant même que ton amie entre dans la pièce. Il n’était peut être pas nécessaire d’ajouter à sa fatigue certaine un interrogatoire en règle, mais Titania connaissais bien tes instincts de bavarde, alors sans doute ne serait elle pas réellement surprise … Et puis, tu la connais bien assez pour pouvoir affirmer que, si elle voulait vous envoyer balader, toi et tes questions, elle n’hésiterait pas une seconde à le faire. Tu n’avais rien à perdre à tenter …
Et puis tu as toujours été curieuse des sorties de Titania en tant que chasseuse de tête ...
Louve Crawford
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Invité
Dim 15 Oct - 18:39
Anonymous
J'ai toujours apprécié Louve. Oh bien sûr, elle peut se montrer lourde à être aussi bavarde - quand moi, je suis son antithèse - mais j'ai toujours senti une certaine affection pour elle. Néanmoins, en cet instant précis, j'aurais aimé qu'elle ne soit pas là.
J'aurais aimée être seule.
C'est peut-être pour ça que mes parents ne veulent pas que j'ai d'appartement en ville ; pour être toujours sous surveillance, quand je suis à Fosterhampton. Ce qui est de moins en moins souvent le cas, faute aux aléas qu'induisent mon statut. Pas qu'ils me dérangent en soi.
Je ronge mon frein ; avale ma saline et force mes lèvres à sourire. C'est compliqué, douloureux, comme la boule dans ma gorge qui m'empêche de respirer.
J'étouffe.
Signes symptomatiques d'un manque, je me sens un poil paniquée. Je tremble, j'ai mal au cœur, j'ai envie de vomir. Je pourrais profiter de l'état de Louve - pas encore totalement éveillée - pour me faufiler dans la salle de bain... Je pourrais peut être pas être seule, mais si elle ne soupçonne rien, alors...
Est-ce que je la crois vraiment si stupide ?
Mes yeux me brûlent.
– C’est rien t’en fais pas. T’étais partie recruter quelqu’un ? Ca c’est bien passé ?
Je ressens une certaine affection pour Louve ; mais qu'est-ce que je donnerai pas pour qu'elle ne soit pas là, pour ne pas l'entendre, pour être seule bordel, seule. J'ai du mal à déglutir, je m'approche brusquement - j'essaie de ne pas être brusque, cassante, mais j'ai du mal, je marche sur un putain de fil.
– Ca c'est bien passé, oui. Emily. Adorable.
Je pose mon sac un peu trop lourdement sur mon lit, commence à légèrement hyperventilée.
– Faut j'aille aux toilettes. T'auras des détails après.
Je tiens plus.
Je n'attends pas sa réponse pour m'engouffrer violemment dans la pièce après avoir récupérer ma trousse de toilettes - le tout de façon violente et paniquée, mais oui, la fatigue va la rendre aveugle, oui -, ferme la porte à clef et m'affale contre l'évier. J'ouvre le robinet à fond, laisse l'eau couler et y emmène mes mains pour venir m'asperger le visage. Je dégouline, lèves la tête et observe mon reflet - détestable. Puis j'ouvre la pochette, la main toujours tremblante, galère à ouvrir la boîte de médoc, pousse un juron ou deux.
Calme-toi, je me répète.
Une pilule tombe dans le creux de ma main, je la plaque contre ma bouche et penche la tête en arrière.
Et je laisse le poison s'insinuer en moi.
Je recule d'un pas, deux ; me plaque contre la porte et me laisse tomber au sol.
Ravale un sanglot ;
sois forte, bordel.
J'dois rester là plusieurs secondes, minutes même, avant de me redresser péniblement, fermer la boîte, la pochette. Essayer de me ressaisir, ouvrir la porte.
Je me dégoute.
– Désolé, j'crois que je suis un peu malade, haha... Donc, hum... J'ai recruté quelqu'un, oui ! Elle faisait des poteries super jolies. C'est super joli, Bristol !
Calme.
Invité
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Louve Crawford
Dim 15 Oct - 20:09
Louve Crawford
Lord & Lady
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Discomfort, endlessly has pulled itself upon me distracting, reacting. Against my will I stand beside my own reflection, it's haunting how I can't seem to find myself again, my walls are closing in.
(Without a sense of confidence, I'm convinced that there's just too much pressure to take)
I've felt this way before, so insecure. Crawling in my skin, these wounds they will not heal. Fear is how I fall, confusing what is real.
Dans ton esprit embrumés par le sommeil, il y a quelque part l’étrange impression que quelque chose cloche. Quelque part dans les mouvements de Titania, dans son sourire, dans sa voix, il y a la sensation d’un décalage, d’un écart, d’une dissonance entre ce qu’elle cherche à renvoyer et ce qu’elle fait réellement. Là, dans la partition de ses paroles et des gestes effectués, il semble que quelque chose soit désaccordé.
A moins que ce ne soit que ton impression, après tout tu viens de te réveiller.
Tu souris quand elle commence à parler, prête à demander plus de détail sur la dénommée Emily dont ta colocataire était partie s’occuper, avant que cette dernière ne marche - non, ne fuit - jusqu’au toilettes. Et tes sourcils se froncent, ton corps se tend. Ton cerveau se met en marche brusquement, ta conscience te nargues en affirmant qu’elle avait raison. Plus une once de sommeil en toi alors que tu te redresses, fixant la porte de la salle de bain en attendant que la jeune femme n’en ressorte.

Si elle met moins de 5 minutes je me fais des idées. Si elle met moins de 5 minutes c’est moi qui psychote parce que je n’ai pas assez dormi et elle va bien.
Et tu fixes les points lumineux de ton réveil. Et tu comptes les secondes qui s’écoule. Pour une raison que tu ignores, l’état de Titania te préoccupes. Ca ne devrait pas. Ce n’est pas la première fois qu’elle découche, pas la première fois qu’elle voyage, ça ne sera pas la dernière fois que tu la verras rentrer à pas d’heure parce qu’elle travaille pour l’établissement. Mais l’image de ses traits tirés et des ses yeux fatigués - non, usés - te revient en mémoire et tu te lèves tandis que la cinquième minute prend fin.

Et la porte s’ouvre.

Tu soupires, discrètement. Tu l’observes, fixement. Tu t’approches, délicatement. Pas trop près. Juste un peu. Pour être là.

▬ Désolé, j'crois que je suis un peu malade, haha... Donc, hum... J'ai recruté quelqu'un, oui ! Elle faisait des poteries super jolies. C'est super joli, Bristol !


Ta main vient trouver la mèche de tes cheveux, enfouie sous ces éternels fils bleus. Tes doigts caressent la plume. Et tu souris légèrement.

▬ Tu devrais te poser alors ! Désolée, tu rentres à peine et je te harcèle de question … Tu veux que j’aille te chercher quelque chose pour aller mieux ? Tu préfères dormir ?



Il y a quelque chose dans le regard de Titania qui ne va pas ce soir. Quelque chose d’éteint. Tu meurs d’envie de l’aider, mais tu ne sais pas comment.
La fatigue n’aide pas à ne pas dramatiser la situation. Comme si tu n’étais pas assez doué pour faire ça seule.

Louve Crawford
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Invité
Jeu 16 Nov - 16:23
Anonymous
J'suis dégueulasse. Dégoûtante. Répugnante. Faible. Pitoyable.
Mais c'est pas le moment de penser des trucs pareils. Ce n'est sans doute pas le moment de penser tout court - ou si, justement ? Louve brûle, elle frôle mon secret du bout des ongles et je vacille tout de même. C'est maintenant que mes dons de comédienne - d'imitation de mur - sont mis à rude épreuve. C'est d'un comique ; c'est elle la comédienne, pas moi. Moi je capture la réalité, elle en joue. Alors pourquoi en cet instant, elle est celle qui court après la vérité et moi qui me joue de mensonges ? C'est absurde. J'ai un sourire éteint, même plus crispé, alors que seules mes lèvres sourient, mes yeux, eux, pleurent, sans doute.
– Tu devrais te poser alors ! Désolée, tu rentres à peine et je te harcèle de question … Tu veux que j’aille te chercher quelque chose pour aller mieux ? Tu préfères dormir ?
J'arrive pas à savoir si elle me croit, mais j'ai pas envie de chercher. C'est con, parce que c'est maintenant que ça craint le plus pour moi, que je dois chercher à la rassurer, à dissiper les doutes ; maintenant que je dois camoufler la vérité et les pilules colorées. Mais moi, moi je suis d'humeur à me diluer dans les songes, à m'effiler au royaume de Morphée. Je suis d'humeur à m'évaporer ; à m'endormir pour ne plus jamais me réveiller. Je passe une main dans ma chevelure en m'approchant de mon sac, fous la pochette à l'intérieur, au fond, referme le sac pour aller le mettre sous le lit. Puis j'ouvre mon placard, prends un pyjama à l'aveuglette.
– Non t'inquiète. Je sais que t'es curieuse et bavarde, j'te connais.
Mais toi, est-ce que tu me connais moi ? Est-ce que tout ça n'est pas un immense bobard, pour commencer ?
Je m'affale et commence à me changer.
– J'ai besoin d'une bonne nuit de sommeil, ouais... vraiment désolée de t'avoir réveillée.
Si seulement tu pouvais te rendormir.
Invité
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Louve Crawford
Sam 20 Jan - 16:44
Louve Crawford
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I've felt this way before, so insecure. Crawling in my skin, these wounds they will not heal. Fear is how I fall, confusing what is real.
Titania bouge, Titania parle. Titania vit devant tes yeux à moitiés éveillés et pourtant, pourtant, tu n’arrives à t’ôter de la tête l’idée qu’il y a un contretemps, un bug dans la matrice. Tu es d’un naturel méfiant Louve, ce genre de personne qui font trois pas en arrière pour prendre le temps d’observer ceux qui t’approches avant de les laisser avancer dans ta vie. Ce genre de personne qui préfère écouter que parler.
Titi a été imposé dans ta vie par le hasard qui a voulu que vous vous retrouviez dans la même chambre. Il a fallu l’intégrer à ton quotidien et Dieu sait que les débuts ont été chaotiques. Tu n’as aucune certitude que vous vous seriez rapproché dans un autre contexte mais voilà. Les choses se sont déroulées ainsi et la jeune femme fait désormais parti de ta vie.
Assez pour que tu t’inquiètes pour elle. Assez pour que tu sentes que quelque chose ne vas pas, même si tu es foutrement incapable de mettre le doigt sur ce dont il s’agit.

Elle fouille à la recherche d’un pyjama, accuse le sommeil, efface tes excuses rapidement parce qu’elle sait comment tu es. Et toi, silencieuse, tu te trouves à te poser des questions étranges et révélatrices.
A-t-elle seulement croisé ton regard depuis qu’elle est rentrée ? Sa voix n’est-elle pas plus fébrile qu’elle ne devrait l’être ?

Tu déglutis, assise sur ton lit. Tu réfléchis en la regardant.
Tu réalises que tu ne sais pas quoi faire.

Quelque chose ne va pas, c’est évident. Mais tu ne sais pas quoi, tu ne sais pas pourquoi, tu ne sais pas comment le régler.
For fuck sake, tu ne sais même pas comment l’aborder, persuadée que si tu insistes, Titania va fuir. Il suffit de la regarder actuellement pour le deviner. Sans pour autant réussir à te sortir de la tête que tu ne dois pas la laisser s’endormir dans cet état.

Alors tu es là, le regard vague, silencieuse. Trop silencieuse.
La demoiselle l’a dit. Tu es bavarde quand tu es proche de quelqu’un. Tu as l’habitude de combler les silences de ta voix.
Pas ce soir.

▬ Non, c’est rien, c’est visiblement toi qui a besoin de sommeil plus que moi tout de suite. Je peux tout éteindre pour te laisser dormir et retourner faire pareil si tu veux ?


Si ton sourire se veut doux, il n’est qu’un ornement inutile à un visage inquiet. Tu es un livre ouvert Louve, un comble pour une actrice. Mais voilà, hors de tes personnages, tu ne sais pas mentir.
Pas aussi bien qu’elle en tout cas ?

Louve Crawford
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