Percy Driss Reed
• Nom : Reed
• Prénom : Percy Driss
• Surnom : /
• Date de naissance : 13 juin 2000
• Nationalité : britannique et allemande
• Origines : allemandes, galloises et anglaises
• Orientation sexuelle : hétérosexuel
• Statut : célibataire friendzoné
• Groupe : olympics
• Boursier : oui
• Club : présentement aucun, il verra bien si un club vient à l'intéresser
• Profession : étudiant ? c'est un métier à plein-temps, surtout quand tu galères autant que lui avec tes cours.
• Phobie : Percy n'a aucune phobie. Il aime se rassurer en affirmant ça. (Sauf que c'est pas vrai.)(En vrai il flippe d'aller chez les dentiste et n'est pas à l'aise chez le médecin)(et il a envie de s'enfuir devant les serpents)(mais faut pas le dire. surtout pour le dentiste.)
• Faible devant : du matériel de skate ou de snowboard (surtout de snowboard), un bon match de hockey sur glace, la glace à la pistache, ses sœurs. surtout ses sœurs en fait. il est même capable de se cosplayer pour ses sœurs svp.
• Logement : une chambre au pensionnat
• Rêve : devenir champion de snowboard
• Date d'arrivée en ville : rentrée 2016
« là haut le monde est plus beau »
• Taille : 1m74
• Poids : 80kg
• Peau : blanche
• Yeux : verts
• Cheveux : blonds
• Maladie : /
• Particularités physiques : no one
Caractère : Normal somme toute ; t'es le mec banal par excellence, Percy.
T'as le sourire, t'as les regards ; t'as les haussements d'épaules, les rires, les soupires.
T'as le cœur sur la main, t'as l'oreille attentive, t'as l'épaule prête à recueillir les sanglots.
T'as le regard patient, t'as l'œil observateur, les yeux qui se plissent et la remarque qui fait mouche.
Parce que tu vois trop les choses Percy, tu vois trop ce que l'on tente de cacher, quand toi-même sais si bien dissimuler ces choses-là.
Tu passes ta vie à les cacher ; les plaies que tu sais exister sur ton être meurtri. Mais t'as cicatrisé Percy ; comme toutes les plaies qui prennent du temps à se refermer, elles sont désormais une force, une force et une faiblesse tout à la fois.
Un outils, aussi ; t'as appris à décoder certaines blessures, certains regards qui longent le sol ; t'as appris à voir les manches trop longue quand il fait trop chaud, appris à remarquer les rires pour combler les vides, appris à voir l'appel derrière le silence. T'as appris à voir les choses moins jolies.
On t'a déjà dit que tu devrais être psy ; tu sais si bien écouter. Sans broncher, sans émettre une parole,
un jugement, tu te poses, tu écoutes. Tu écoutes sans t'écrouler, et qu'importe l'heure, l'instant ; plus par habitude que par réel désir d'aider ton prochain par ailleurs. Tu n'as pas de réel avis pour ton prochain ;
il existe, cool. Tu n'es pas celui qui veut à tout prix aider les autres ; mais si l'on te demande ton soutien, tu ne le refuseras pas. Parce que tu sais ce que c'est, que d'avoir besoin que l'on te sauve.
Comme l'on t'a sauvé toi.Comme t'a toujours qu'on besoin de te sauve ; de tes cahiers. T'es nul en cours c'est infernal, tu trimes et t'as l'impression que les résultats n'arrivent jamais. T'envies ces gens qui foutent rien mais obtiennent tout, réellement ; tu râles un peu, tu ne le caches pas. T'es un vrai livre ouvert sur tellement de choses ; t'es
honnête, t'es
sincère. Tu sais mentir mais n'exerce ce dernier qu'à l'occasion ;
vous savez c'est mon chien qui a bouffé mon devoir – comment ça j'ai pas de chien ?? Oh ouais, t'en dis, des conneries ; t'as le sourire moqueur, le propos railleur, et la blague aux lèvres. T'aimes rire, t'adores ça ; t'aimes déconner, traîner avec tes potes, vivre simplement. Tu te contentes de peu ; t'es le gars
facile à vivre. Et des
potes, t'en as un paquet ; parce que t'es facile à vivre, parce que t'es agréable, parce que t'es à l'écoute,
parce que pleins de trucs.Il faut dire ; qui ne t'apprécie pas un tant soi peu ? Ce n'est pas les petites vieilles du quartier qui y prétendront.
Non, elles, elles te kiffent leur race. T'es le petit-fils rêvé faut dire ; t'aides leurs courses, offres des sourires et même une oreille attentive. T'y réfléchis pas vraiment ; c'est
naturel pour toi. Même s'il t'arrive d'avoir des ras-le-bol, comme tout le monde, sans doute.
T'as la boutade facile ; et t'aimes titiller les autres, aussi. T'as un joli côté troll, Percy. T'es du style amour-vache, du style a d'avantage apprécier les gens qui ne sont pas susceptibles, ceux qui ne sont pas
fragiles. Pas que tu t'entendes pas avec cette population-là ; juste que toi, t'es un casse-cou de première, un skatter, un type à la grande passion qu'est le snowboard. Et puis ouais, t'aimes qu'on te renvoie la pareille, t'aimes jouer. T'as trop d'énergie à dépenser ; pas que tu sois hyperactif, t'aimes juste
bouger.
Et manger.
T'adores manger, aussi.
T'as toujours un truc à grignoter sur toi en vrai ; et c'est sans gêne aucune que tu peux te goinfrer pendant qu'on se confie à toi sur ses problèmes. Le tout avec un regard parfaitement intéressé.
Ah, oui, tu aimes bien l'ironie, aussi.
Plus que le sarcasme cependant. Cela t'arrive de le manier ; mais plus par exaspération qu'autre chose, dans ce cas, par lassitude.
Parce que malgré ta gueule d'ange, malgré ton comportement de mec parfait, t'es juste un type normal, un être humain lambda.
Alors toi aussi, des fois, t'es pas forcément sympa ; toi aussi il t'arrive d'être blessant, d'être de mauvaise humeur, d'envoyer paître tout le monde. Toi aussi, il t'arrive de ne pas réussir à dormir, le soir, à te retourner dans ton lit, à en vouloir au monde entier. Toi aussi, il t'arrive d'envier les autres, de sentir une boule de jalousie dans ta gorge, de jalousie et de rancœur ; toi aussi, tu mens derrière tes sourires, derrière ta nonchalance.
Parce que t'es rien de plus qu'un être humain de dix-sept ans.
skateur + snowboard + a gagné plusieurs compétitions en la matière + aime tous les sports de glisse + dont le patin à glace + les rollers aussi + un peu hipster + style sportswear + facile à vivre + souriant + curieux + gourmant + se lève le cul pour sa famille + et pour ses amis + loyal + sociable + pas susceptible du tout + galère en cours + bilingue allemand + sa mère est allemande + il lui arrive de parler allemand sans capter + troll sur les bords + bords très larges + adore titiller les autres + surtout quand ça boude + mais à la longue ça le fatigue + lit merveilleusement bien les gens + vrai psy + a souvent faim + hait le sexisme + et les violences domestiques + méprise la violence + surprotecteur + adore l'adrénaline + somnambule
• Comment es-tu arrivé à Fosterhampton : par les transports en commun. il aurait bien voulu arriver par traîneau du père noël mais il a pas pu, dommage hein ?
• Tes proches, que pensent-ils de ta présence ici : ils pleurent de fierté, ils s'sentent plus, ils sont beaucoup trop heureux pour lui. même si sa plus jeune sœur est très malheureuse de pas être avec lui à l'année.
• Où as-tu grandis et avec qui : question piège, jusqu'à ses douze ans, à Aberdeen avec ses parents et sa petite sœur. par la suite, à Londres avec sa mère, son beau-père et ses deux petites sœurs.
• Tes parents, tu peux nous dire quoi à leur sujet : il adore sa mère, comme tout gamin à peu près normal et banal aime sa mère, mais avec un bonus surprotection. il peut pas s'empêcher de vouloir protéger sa daronne quand bien même c'est à elle de le protéger lui (ce qu'elle lui répète souvent). son père c'est qu'un connard. il essaie de se dire qu'il le déteste juste, mais en réalité il a plus peur de lui qu'il ne le hait (et il est en taule). sa figure paternelle, c'est son beau-père (il parle d'ailleurs de lui comme de son père et dit en général "mon père" pour parler de lui aux autres).
• Tu as des frères/sœurs, tu peux nous en parler : ses deux cadettes. ses princesses. elles font absolument ce qu'elles veulent de lui. les deux. que ce soit celle de treize ans ou celle de quatre.
• Tu as une passion : le snowboard. le skate, aussi, mais dans une moindre mesure. idem pour le patin à glace et les rollers.
• Aimerais-tu quitter cette ville : euh non ? enfin pendant les vacances si, pour rejoindre sa famille, normal quoi ?
• Comment vois-tu ta vie dans dix ans : sur les pistes avec pleins de titres ! et surtout, avec assez d'argent pour aider sa famille. puis aussi ok il aimerait bien avoir une jolie copine aussi. une jolie copine badass de préférence, ouaiiis.
Aberdeen, c'était sympa.
Aberdeen, c'était plutôt calme, c'était les bons moments ; le sourires, les cris de joie, les regards complices.
Aberdeen, c'était les beaux jours, ceux qui se rattachent à l'enfance, couverts d'un voile d'innocence.
Aberdeen, c'était les sanglots, les cris, les suppliques.
Aberdeen, ça te donne pas spécialement envie d'y retourner.
T'y associes sans doute plus les douleurs que les joies, plus les plaies que les jeux. C'était tellement de bonnes choses, aussi ; ces journées sous la brise marine, avec Quara, Lizzy, Tom et Pete ; ta petite bande de copains avec qui tu passais ta vie. Quoique ta meilleure amie restait Quara. Ton premier crush aussi, mais là n'est pas la question.
Tu te souviens qu'à l'époque, tu préférais de loin être dehors qu'à la maison ; t'avais tellement peur de rentrer. Pourtant il promettait, toujours, il promettait de ne plus recommencer – il a fini par cesser les promesses en l'air. Cet homme que t'appelais papa, le plus souvent pour lui demander d'arrêter de te faire mal.
On devrait pas avoir à grandir dans une atmosphère pareille.
Il y a les silences à Aberdeen, les regards en coin, les commérages. Les hypothèses, essayer de paliers aux secrets, aux mystères ; personne ne savait rien, à Aberdeen. Seul l'homme dont ta mère s'est éprise a fini par savoir ; lui qui a vu les coups sur le visage de celle qui a fait basculer son univers. Kyle a toujours tenu à mettre les choses à plat ; et tu sais donc pas mal de choses de cette époque. Pas tout, tu t'en doutes ; et sans doute est-ce parfois quelque peu enjolivé. Ne pas casser l'âme d'un enfant déjà fracturé. Kyle, c'était le patron de ta mère ; celui qui voulait l'épouser, l'amener loin d'Aberdeen, avec les gamins, allez ! L'homme qui l'a sauvée, ta mère.
L'homme qui vous a sauvé, ta mère, ta sœur et toi.
Quoiqu'il aurait pu provoquer ta mort.
Mais ta mère n'y pouvait rien, si cet homme était jaloux, violent, et qu'il prit fort mal de découvrir que le cœur de sa douce lui avait été volé.
Qu'il était con, sérieux.
Il a voulu vous empêcher de partir, vous empêcher de vous enfuir ; tu t'es réveillé deux semaines plus tard.
Aberdeen, c'était un autre temps ; un temps qui s'est clôt abruptement. Puis c'est le départ, c'est Londres, une nouvelle famille un peu cassée, un peu abîmée ; un gosse un peu trop paumé. On t'avait arraché à la violence – arraché à la douceur. Arraché à la douleur, mais aux rires aussi ; sans jamais te donner le droit à la parole, sans jamais te laisser dire « au revoir ». Et allez savoir ce qui se raconte à Aberdeen.
T'es arrivé dans cette ville – si grande, trop grande. Ta ville natale est grande assurément ; mais à côté de Londres elle fait bien pâle figure. Du moins à tes yeux. T'étais perdu, gosse à la dérive, gosse au silence pesant et au regard insistant ; toi qui voulais tant que ta mère soit heureuse, tu ne savais plus vraiment où ta place se situait.
Puis il y eut le regard lumineux, celui-là envieux. Toi qui était si habitué à avoir mal, tu te fichais bien de te blesser en skate ; tu avais même découvert le snowboard quelques années plus tôt et t'étais montré incroyablement doué en la matière. Et t'étais là, à Londres, dans ce skate parc paumé, à l'ombre de l'oubli d'une ville trop vivante. Tu te faisais chier ; tu te noyais. Alors tu t'oubliais à t'agiter dans tous les sens ; tu t'essoufflais à essayer de t'effacer. Jusqu'à ce que sa silhouette ne t'interpelle, jusqu'à ce que Noa n'entre dans ta vie.
Lui et ses regards avides, lui et son admiration manifeste qui te donnait l'impression d'exister.
T'étais fier ouais ; mais surtout, ô combien vivant. Et c'est tout doucement, alors qu'il devenait ton premier ami dans cet univers inconnu, ton premier visage familier, ton premier soutien réel, que tu finis par prendre tes marques, finis par guérir.
Londres c'est les regards paumés, les malaises, la solitude. La douleur, aussi.
Londres, c'est les éclats de rire, les larmes et les zygomatiques douloureuses, les douleurs aux abdos et les regards hilares.
Londres, c'est les premiers cris d'une petite fille, une bague au doigts et un regard brillant d'émotion.
Londres, c'est la reconstruction, l'acceptation, la guérison.
Londres, c'est Percy Driss Reed, Londres c'est ta nouvelle vie.
Et la missive, aussi ; Percy petit génie du snowboard, voilà que les frais de Kyle étaient amortis.
Tu sais quoi, p'tit génie ? T'as été repéré à une compète.
Blenheim.
Londres, c'est vivre, mais c'est pas oublier. C'est juste avancer.
Blenheim, c'est grandir.
• Pseudo : kingyo ; morphée ; oreo ; lilas /out
• Age : 20 ans !
• Disponibilité : très très disponible pendant les vacances, dès la rentrée ce sera plus discutable haha
• Comment tu nous as connu : CC ~ (omg déjà /out)
• Des remarques : je vous aime toujours autant ?