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Le fan de kendo débarque FINI
Sylvester Y-S Seo
Mer 26 Juil - 17:38
Sylvester Y-S Seo
Outrageous
Messages : 46
Age : 24
Multi-comptes : Noa A. White
Sylvester Yong-Sun Seo
• Nom : Seo
• Prénom : Sylvester et Yong-Sun
• Surnom : Syl, Sylv, Ester, Yon, Sun. Mais l’idiot, l’homme ménage et l’homme-cuisine ça lui va bien aussi.
• Date de naissance : 15 aout 1999
• Age : 18 ans. Et ouais, il est enfin majeur, c’est la classe !
• Année d'étude : Troisième année
• Nationalité : Suédoise et coréenne. Et il parle les deux langues en plus de l’anglais et ouais !
• Origines : Suédoise et coréenne.
• Orientation sexuelle : Probablement hétéro, mais c’est une quiche en amour donc c’est probable qu’il n’y ait jamais fait attention.
• Statut : Célibataire
• Groupe : Il aurait très bien pu aller à Olympics vu son amour du sport et d’ailleurs c’était ce qu’il avait prévu. Mais apparemment son petit côté rebelle (les pansements souvent présents sur son visage l’ont trahi faut croire) l’a fait atterrir chez les Outrageous. Pourquoi pas, après tout ?
• Boursier : Noooon. Sa famille est super riche, mais cela ne l’aurait pas dérangé.
• Club : Athlétisme, je vous l’ai dit qu’il était sportif. Et il fait de la compét’ car il est doué mine de rien, il court vite.
• Profession : Etudiant, c’est déjà bien non ? Et puis travailler encore plus... La flemme quoi.
• Phobie : Perdre un autre membre de sa famille. Cela l’obsède certains jours, sans doute pour ça qu’il colle autant ses frères et sœurs... Et sinon, il n’aime pas trop les guêpes et autres bestioles qui piquent, mais c’est pas vraiment une phobie. Ah, et il a horreur des films et jeux d’horreur aussi.
• Faible devant : Tout ce qui est mignon, sa fratrie, la nourriture, les filles, les guêpes, les abeilles et tout ce qui fait peur.
• Logement : Au pensionnat la semaine et il squatte l’appartement de son grand-frère le week-end.
• Rêve : Fonder sa propre famille, devenir un professionnel du kendo et faire le tour du monde accessoirement.
• Date d'arrivée en ville : Rentrée 2015
« On peut être cassé et continuer à croquer la vie à pleines dents »
• Taille : 1m73
• Poids : Aucune idée, il fait pas attention à ça
• Peau : Pâle, mais il bronze facilement et attrape rarement des coups de soleil.
• Yeux : D’un bleu foncé presque noir.
• Cheveux : Noirs aux reflets bleutés, ils sont presque impossibles à coiffer tant ils sont indomptables. Sa frange lui tombe sur la figure jusqu’aux yeux et il les a souvent dedans, mais ça lui donne un petit air rebelle qu’il affectionne tout particulièrement.
• Maladie : Il pète la forme ! Et depuis tout petit, il est rarement malade. Par contre il se blesse souvent par accident ou à cause des bagarres.
• Particularités physiques : A part un sourire éternel, pas grand-chose ?.
Caractère : Il semble souvent difficile de prendre Sylvester au sérieux. Enfin, pardon, Yong-Sun. Quoi ? Il n’aime pas son prénom coréen ? Ah oui, c’est vrai que les gens se trompent souvent sur ses origines. Et qu’il en a marre qu’on le prenne pour un chinois, un japonais ou même un indonésien. Sérieusement, il a une tête d’indonésien ?! Pas qu’il soit raciste, hein, mais quand même ! Yong-Sun, c’est typiquement coréen comme nom ! C’est pas compliqué à comprendre ! Alors du coup quand il est agacé après qu’on se soit trompé pour la dizaine fois de la journée sur ses origines, il balance qu’il est suédois. Je vous jure que ça calme. Ben oui, s’il n’a pas une tête d’indonésien, il en a encore moins une d’un pays nordique.

Et ça le fait rire de voir la tête des gens à cette annonce. Enfin, quand ils le croient, ce qui n’arrive pas si souvent. Et il ne peut pas vraiment leur en vouloir, lui aussi aurait eu du mal à leur place. Enfin. Le coréen-suédois est fier de ses origines, c’est le plus important. C’est vrai quoi, vous en connaissez beaucoup des gens qui viennent à la fois d’un pays nordique et d’un pays asiatique ? Et bien ouais, il n’y en a pas des masses et il aime ça le Sylvester. Enfin, vu la taille de sa famille, on ne peut pas vraiment dire qu’il est seul au monde, mais en dehors il n’en a jamais vu et ça le rend fier. Tout comme il aime bien son nom. C’est vrai quoi, Sylvester ça lui donne des airs d’elfe, de celte et ça c’est la classe. Et au fond, il aime bien Yong-Sun aussi, parce qu’il y a le mot soleil dedans et qu’il aime bien le soleil. Enfin, ses prénoms sont un peu longs quand même. Pour ça que ses proches l’appellent à sa demande le plus souvent par des surnoms bien plus courts et pratiques selon lui.

Le suédois-coréen vient d’une famille nombreuse et est donc plutôt débrouillard. Il sait cuisiner par exemple. Délicieusement cuisiner même ! Un vrai petit chef. A se demander comment il fait pour rendre ses petits plats aussi bons. On ne peut s’empêcher de vouloir se resservir quand Syl’ fait la cuisine. Et ça le rend très fier à chaque fois. Il est sur un petit nuage quand on le complimente. S’il était un chien, il remuerait sans nul doute la queue de joie. Personne ne peut dire que sa cuisine est mauvaise, c’est impossible. Et pas question de partager ses recettes et ses secrets de cuisine ! Même sa famille a du mal à obtenir ce genre d’informations qu’il garde précieusement pour lui seul. La seule peut-être qui est au courant, c’est sa sœur aînée vu qu’ils cuisinent souvent ensemble. Mais même elle ne sait pas tout, il fait attention à lui tourner le dos et à lui cacher la vue quand il utilise les plus secrètes de ses astuces. Et si quelqu’un essaie de voir quand même, il fait la moue et pousse un grognement contrarié et menaçant. A croire qu’il serait capable de mordre pour protéger ses secrets de professionnel amateur.

En plus de la cuisine, c’est une vraie petite fée du logis. Et je suis sérieuse malgré les apparences ! Qu’il s’agisse de repasser, de faire la vaisselle, de laver les sols, de faire la lessive, d’étendre le linge, de nettoyer la table, d’arroser les plantes, de faire la poussière, il sait tout faire ! Et encore une fois il le fait divinement bien. Où qu’il passe la saleté trépasse pourrait facilement être un de ses dictons. Bon, d’accord, il est un peu maniaque, alors c’est plus fort que lui. Dès qu’il voit que c’est un peu trop sale à son goût, il s’arme de sa tenue et de ses outils de nettoyage pour attaquer le problème. D’ailleurs, on se moque souvent de ses tabliers de cuisine et de ses tenues de ménage. Ben quoi, pas sa faute s’il aime s’habiller de vêtements trop mignons pour un mec viril. Son tablier n’est pas rose non plus, hein ! Il peut bien se permettre d’en mettre un avec un panda ou des petits pois jaunes s’il veut ! Si vous vous moquez, vous risquez de vous prendre un torchon dans la gueule ainsi que vous faire cracher quelques remarques désagréables à la figure. Ouais, il aime bien jeter des trucs à la figure, vous allez vite vous en rendre compte.

Revenons aux choses mignonnes. Sylvester adoooooore tout ce qui est mignon. Si, si, je vous assure, c’est pas parce qu’il a un caractère de cochon quand on l’énerve que c’est incompatible. Les bébés animaux le font fondre comme neige au soleil tout comme les pandas géants et les pandas roux. Il meurt d’envie d’acheter le moindre accessoire que les japonaises qualifieraient de kawaii au magasin. Et quand il a reçu sa peluche Pikachu, il a roulé sur son lit en mode « il est trop mignon je meurs ! ». En tout cas, vous ne le verrez jamais sans quelque chose de kawaii sur lui. Que ce soit un porte clé à son sac – vous risquez de prendre ce dernier à la gueule si vous vous moquez d’ailleurs -, une casquette à l’effigie d’une mascotte quelconque ou encore ses bentos assez enfantins. Par contre, il a encore trop de fierté pour admettre qu’il aime bien le rose et cette information est donc aussi secrète que ses secrets de cuisine. Tout comme son amour des licornes... Mais si, je vous assure que ce mec peut être viril quand il le veut. Faut me croire !

En plus d’aimer les trucs mignons, on peut dire que lui-même l’est également. Sa fratrie partage cet avis, même si certains ne l’admettront jamais. Surtout ceux qu’il blase jour après jour... Coucou jumelle. Sylvester, c’est le mec super affectueux et collant qui vous saute dessus par derrière sans prévenir comme s’il ne vous avait pas vu depuis trois jours. Alors qu’il vous a vu le matin même. Ou une heure avant. C’est plus fort que lui, il est super tactile et affectueux. Et il adoooore sa fratrie. Ses sœurs, ses frères, il ne fait aucune exception et il le montre souvent. Tout le temps, en fait. Inutile de dire que ce sont eux qui ont le droit au plus grand nombre de câlins, d’étreintes, de bras posés sur les épaules, de bourrade amicale, d’ébouriffage de cheveux pour le petit dernier et tout ce qui peut être utilisé pour montrer physiquement son affection.

Mais ses amis et autres proches ne sont pas en reste et si quelqu’un refuse il ne comprendra pas et le regardera d’un air un peu stupide du genre « Quoi ? Comment on peut ne pas aimer un câlin ? Ils existent les gens qui n’aiment pas les câlins ? Je fais quoi maintenant ? » Et il risque même d’en avoir les larmes aux yeux et de se frotter précipitamment les paupières en se traitant d’idiot. Car on a pas idée de pleurer juste pour ça ! Mais c’est plus fort que lui, il est quelque peu hyperémotif, voyez. Que ce soit les larmes, la colère, la peur, tout est exacerbée chez lui. Ce qui explique peut-être qu’il pleure quand il perd sa peluche préférée, qu’il est mort de trouille devant certaines scènes de films ou qu’il vous envoie des trucs à la gueule dès que vous l’agacez. Enfin, heureusement que sa famille a l’habitude ainsi que ses amis les plus proches. Les autres s’adaptent vite, ce n’est pas comme s’ils avaient vraiment le choix.

Il est souvent à côté de la plaque notre héros. C’est à dire qu’il a un côté très naïf et qu’il serait capable de gober n’importe quoi ou presque. C’est limite s’il ne croit pas qu’il y a un Tyranosaure Rex au centre-ville si on lui annonce. Si, si, je vous jure. Essayez pour voir. Parfois, il vous regardera d’un air suspicieux, d’autres fois d’un air complètement stupide et d’autres fois il s’emballera comme s’il y croyait vraiment. Je peux vous assurer qu’il donne souvent envie de se coller la main sur le front avec désespoir. Et comme si ça ne suffisait pas, il invente toujours des excuses plus ridicules les unes que les autres. Le chaton qu’il essaie de ramener en douce à la maison c’est celui des voisins qui lui ont demandé de le garder parce que leur chien veut le bouffer ! Ou ses devoirs, ce n’est pas lui qui les a perdus c’est le fantôme de l’école qui les a fait s’envoler jusqu’à la lune ! Je vous jure qu’il serait capable de raconter cette dernière histoire.

Bref, on ne le croit que très rarement et le pire c’est qu’il semble ne pas comprendre pourquoi. Ses têtes d’ahuris sont connues de toutes ses connaissances et les feraient mourir de rire s’ils n’étaient pas tous complètement blasés ou désespérés. Aussi, il a souvent de bonnes intentions, mais il est tellement naïf qu’il fait parfois des bêtises ou s’attire des ennuis sans même s’en rendre compte. Par exemple, s’il pleut il va proposer son unique parapluie à une fille qui a oublié le sien, se souvenir quand il est trop tard qu’il n’en a pas d’autre et rentrer trempé à la maison. Ou préparer une tonne de nourriture pour faire des réserves en oubliant que le frigo et les placards sont pleins. Vous voyez le genre. Et une fois encore, quand vous le lui faites remarquer, la remarque la plus intelligente que vous entendrez sera probablement « gné ? ».

Ah et inutile d’essayer de lui faire comprendre que vous êtes amoureux de lui ou quelque chose du genre les filles. C’est presque peine perdue. Il n’y a pas plus nul dans ce domaine que lui. A un tel point qu’on pourrait le croire vierge malgré ses dix-huit ans. Et comme si ça ne suffisait pas, il est affreusement timide quand il s’agit de filles. Vous le verrez souvent plonger la tête dans ses cahiers quand une lui adressera la parole. Et ses joues se coloreront d’une belle couleur rouge tomate. Et il bégayera sans doute un peu en essayant de disparaître sous terre. Le pire, c’est que la plupart trouvent ça cute et il se retrouve souvent entouré de celles de sa classe ou de son année pour son plus grand malheur. Les seules qui ne lui font pas cet effet sont ses sœurs et les autres l’ont bien remarqué. Ce qui ne l’arrange pas du tout quand elles lui demandent à leur tour un câlin ou un bisou sur la joue. Le pauvre, c’est un miracle s’il n’est pas encore mort de gêne.

Malgré son manque de crédibilité habituel, il sait quand même être convaincant quand il le veut vraiment. Pour convaincre les gens d’un truc notamment. Par exemple, quand il a essayé de ramener son chaton à la maison – oui c’est une histoire vraie – il n’a pas hésité à faire les yeux doux à son frère aîné, à le coller et même d’après une rumeur à s’accrocher à ses jambes sans jamais le lâcher même quand il s’est fait traîner sur le sol de la cuisine. Et comme ça n’a pas suffi, il a fait tout un exposé sur l’importance et les avantages d’un animal de compagnie en trouvant des études sérieuses sur le sujet. Je vous assure, quand il a une idée derrière la tête il ne lâchera pas l’affaire et fera tout son pouvoir pour y arriver. Et c’est seulement quand il aura tout essayé et que ça n’a toujours pas marché qu’il abandonnera. Et à ce moment-là, il sera sans doute complètement déprimé, ce qui risque de faire céder des gens même si ce n’est pas son intention. Et ça, c’est pour les choses importantes, comme pour les choses futiles je vous assure.

Il a un côté viril je vous l’ai dit n’est-ce pas ? Et bien, il essaie de l’être en tout cas. Même s’il ne cache pas complètement sa passion pour les choses mignonnes, il dissimule les plus ridicules à ses yeux. Et il fait du kendo, du karaté et de l’athlétisme, si ça c’est pas viril ! Sans compter les trucs qu’il jette à la figure des gens qui l’embêtent et les répliques cinglantes dont il a le secret. Et les bagarres, oui, les bagarres... A vrai dire, on le voit souvent avec des pansements sur le visage ou les bras, preuves qu’il se bat souvent. Une rumeur dit même qu’il affronte les gangs du quartier à lui tout seul parfois pour quelque obscure raison. En tout cas, il n’a pas peur de se faire cogner et on pourrait presque le croire masochiste vu le nombre de cicatrices sur son corps. Sa fratrie le retrouve souvent à l’infirmerie et - heureusement plus rarement - à l’hôpital. Ou dans le bureau du directeur, ce qui est moins drôle. Vous l’aurez compris, il aime paraître fort. Il n’aime pas pleurer en public et c’est probablement pour ça que son hyperémotivité l’énerve autant.

Il faut dire qu’il s’énerve très facilement depuis la mort de sa sœur jumelle. C’est comme s’il contenait trop d’émotions et qu’elles explosaient subitement sans prévenir. Que ce soit pour quelque chose qui mérite qu’il se mette en colère ou pour un truc complètement futile, il se contrôle difficilement. Et ça s’exprime par des répliques cinglantes, des objets jetés à la figure des gens qui l’énervent, des insultes, des cris et même des coups parfois. Et le pire c’est qu’il n’est pas facile à calmer dans ces cas-là, seule sa fratrie y arrive vraiment en réalité. Même les adultes comme les professeurs ou le directeur ont de la peine avec lui dans ces moments-là. Cela l’amène souvent dans le bureau de ce dernier d’ailleurs et une fois calmé il culpabilise à chaque fois. Il a beau essayer de se contrôler, il n’y arrive pas et le fait qu’il soit une tornade d’énergie n’arrange rien. Hum ? Du yoga, de la méditation ? Il faudrait déjà qu’il soit capable de rester immobile !

Parce que oui, c’est très dur pour lui de rester tranquille plus de cinq minutes. Et déjà, cinq minutes c’est long ! Il ne tient pas en place en fait. Il a toujours besoin de bouger, d’être en action. Autant dire que les cours sont l’enfer pour lui. A se demander comment il fait. Même lui n’est pas sûr d’avoir la réponse. C’est un vrai miracle. Enfin, ça ne l’empêche pas de se tortiller sur sa chaise pendant tout le cours sous le regard désapprobateur du professeur et ceux amusés de ses camarades de classe. Et dès qu’il peut trouver une excuse pour bouger, il s’en saisira sans hésiter. Besoin d’aller aux toilettes ? Il y va presque en courant pour se dégourdir les jambes. Le prof a besoin d’un volontaire pour porter quelque chose à la salle des professeurs ? Sylvester se proposera illico presto.

Tout prétexte est prêt à prendre pour bouger un peu durant ces heures interminables pendant lesquelles il est cloué sur une chaise ! Autant dire que son cours préféré est l’éducation physique. Même s’il serait capable de répondre également la récréation. C’est probablement pour cela qu’il a choisi le club d’athlétisme. Il aurait très bien pu en créer un de Kendo vu son niveau et son expérience, mais comme il en fait déjà assidument en dehors des cours, il avait envie de changer un peu de discipline. Et au moins, il peut courir autant qu’il le veut avec celle-ci. Le métisse s’est révélé assez doué pour faire des compétitions et il en est très fier. A vrai dire, il en fait aussi de kendo depuis longtemps maintenant et depuis peu il a fait sa première de karaté ! Ouais, il adore ça la compét’, les concours, l’adrénaline que ça lui procure d’affronter les autres, de les vaincre et de se hisser au sommet.

C’est qu’il est extrêmement compétiteur le Sylvester. Il adore qu’on lui lance des défis et les relève toujours sans jamais se dégonfler. Il en lance autant lui-même également. Etre le premier, jamais le second, c’est sa devise. Cela peut paraître arrogant, mais il aime juste ça, sans arrière-pensée. Que ce soit un match de Mario Kart avec un de ses frères, la fête sportive de l’école ou un tournoi, il fera toujours tout pour gagner. Il se dépassera, jusqu’à atteindre ses limites, quitte à s’effondrer après. Mais même s’il finit sur le dos, complètement mort à cracher ses poumons, un grand sourire se verra sur ses lèvres et il lèvera faiblement le bras pour faire le « V » de la victoire. La seule chose qu’il ne fera jamais pour gagner, c’est de tricher. Il a un grand sens de l’honneur et ne s’abaissera jamais, oh grand jamais à ça. Et il sera sans pitié avec ceux qui s’y abaisseront dans le domaine du sport. C’est son territoire, c’est son Saint Graal, il ne permet à personne de rabaisser une discipline sportive. Et dans ces cas-là, je peux assurer qu’il est impitoyable, il n’hésitera pas à vous dénoncer à un responsable ou à vous lancer ses quatre vérités au visage. Il serait même prêt à vous traîner en cour martiale si c’était possible. Bref, on ne plaisante pas avec le sport !

Malgré les apparences, il prend très à cœur ses études. Il sait que si son niveau n’est pas assez bon, il risque de ne pas pouvoir rester à Blenheim. Car contrairement à certains, Sylvester est loin d’être un génie. Il se demande souvent d’ailleurs comment il a pu être choisi. Oh, il n’est pas un cancre, mais il doit sans doute travailler deux fois plus que les autres pour se maintenir au niveau. Cela lui demande de vrais efforts pour avoir des notes à la hauteur du prestige de l’établissement. Alors il travaille dur et il n’est pas rare qu’il révise jusqu’à tard dans la nuit. Quand il ne comprend pas quelque chose, il met sa fierté de côté et demande de l’aide aux professeurs, à ses camarades ou au membre de sa fratrie le plus doué dans la matière en question. Si un matin, il s’affale sur une chaise de la cuisine et pose sa tête sur la table, en général les autres le laissent tranquille. Ses bâillements, ses cernes et sa fatigue évidente parlent pour lui. Surtout quand il laisse la préparation du petit déjeuner au reste de la famille, là ça veut vraiment dire qu’il a étudié jusqu’à très tôt le matin ! Mais grâce à tous ses efforts, ses notes sont plus acceptables et même excellentes en langues, sa matière préférée. Et ce n’est pas comme si ça le vidait complètement de son énergie...

Vous l’aurez compris, même s’il est peu sérieux en général, il sait l’être pour les choses vraiment importantes. Que ce soit pour ses études, les tâches ménagères, les soins de son chaton et toute tâche qui requière qu’il mette son attitude de gamin de côté. Dans ces moments-là, la concentration se voit sur son visage et cela peut surprendre, tant ça change de ses expressions habituelles. Enfin, la malice finit toujours par revenir dans ses yeux et il ne reste jamais bien longtemps sans sourire. C’est qu’il est joyeux le Sylv’. Un peu taquin aussi. On ne dirait pas à première vue qu’il a encore beaucoup de mal à accepter la mort de sa sœur et le divorce de ses parents. Seuls ceux qui le connaissent bien peuvent le deviner tant il croque la vie à pleine dents. Seuls ceux qui le connaissent par cœur savent décoder ses crises de colères et sa fâcheuse tendance à se bagarrer. Il est cassé et ne sera sans doute plus jamais le même. Parfois, il va au cimetière et laisse son regard dériver sur les tombes même si celle de sa sœur n’y est pas. Et parfois, il se permet de craquer et de la pleurer.

Cela explique peut-être aussi pourquoi il est si protecteur avec sa fratrie. Que ce soit avec ses deux cadets, sa jumelle ou ses deux aînés. Dès que l’un d’eux n’attrape ne serait-ce qu’un rhume, la panique s’empare de lui. Il ne peut pas s’empêcher de potasser les livres de médecine pour pouvoir donner des conseils à tout bout de champ et force les plus jeunes à rester au lit. Et même les plus grands d’ailleurs. Si quelqu’un menace son petit frère ou sa petite sœur, il ira chercher la bagarre sans réfléchir à deux fois et lui passera l’envie de recommencer. Si on embête sa jumelle, il montrera les crocs. Si son grand-frère a eu une journée difficile, il lui massera les épaules. Si sa sœur reçoit un ballon sur la tête, il balancera un autre sur le responsable dès qu’elle aura le dos tourné. Surprotecteur donc et quand on le lui fait remarquer il se contente de hausser les épaules. Ouais, et alors ? Il a perdu sa jumelle car il n’était pas assez vigilant, il ne fera pas deux fois la même erreur, c’est tout.

D’ailleurs, en parlant de ballons, vous savez, il les attire comme un aimant. Il n’est pas rare qu’il sorte du cours d’éducation physique avec une grosse marque rouge sur la face ou une bosse à l’arrière de la tête. Peut-être pour ça qu’il ne fait pas de basket ou de football, au moins il est sûr de ne pas en recevoir dans les disciplines qu’il pratique. Car étrangement sa maladresse et sa malchance choisissent les moments où elles apparaissent. Il ne se casse pas la gueule quand il court au club d’athlétisme, mais peut très bien rater une marche et tomber dans les escaliers de l’école ou de l’immeuble de son frère. Il ne se brûle pas quand il fait lui-même à manger, mais se fait mal quand quelqu’un d’autre pose un plat sur la table. Il ne casse pas le vase en l’époussetant, mais le fait tomber quand il passe à côté... Ouais, certains jours il a vraiment la poisse et s’il croyait à ces sornettes nul doute qu’il consulterait son horoscope tous les matins.

Pour finir, qui pourrait croire que Sylvester est pédagogue ? Pas grand monde. Et pourtant, il a un vrai feeling avec les enfants. Ou même avec les adolescents et les adultes quand il s’agit d’enseigner. Que ce soit pour aider ceux qui ont du mal avec les langues, l’organisation de leurs cahiers ou encore le sport. Il sait donner de bons conseils à force de lire et d’écouter ses aînés. Ses schémas sont faciles à comprendre tout comme ses explications et il est suffisamment modeste pour renvoyer son « élève » à quelqu’un de plus compétent quand le sujet dépasse ses compétences. Ouais, c’est un bon prof’ et il doit avouer que l’idée lui a déjà traversé l’esprit plus d’une fois pour l’avenir. Il pose pas mal de questions à ce sujet à son frère Fenrir, l’air de rien, mais garde l’idée dans un coin de sa tête. Par contre, ce serait professeur d’éducation physique pour transmettre son amour du sport !
Pour la biographie, en plus des questions ci-dessous vous devez bien évidemment nous décrire la vie de votre personnage  

• Comment es-tu arrivé à Fosterhampton :
Il a reçu une missive comme les autres membres de sa fratrie. Ouais, c’est de famille le talent.
• Tes proches, que pensent-ils de ta présence ici : Ils sont fiers, je suppose. A vrai dire, il en a jamais vraiment parlé avec eux. Comme si leur présence à tous coulait de source.
• Où as-tu grandis et avec qui : En Corée du Sud, avec ses parents et ses nombreux frères et sœurs. Puis juste avec son père et la fratrie quand maman est partie.
• Tes parents, tu peux nous dire quoi à leur sujet : Sa mère est suédoise, son père coréen. Ils sont divorcés depuis quelques années. Et Sylv en veut beaucoup à sa mère pour avoir quitté leur père, s'être remarié et avoir causé la mort de sa sœur jumelle. Il ne lui parle plus du tout et c'est à peine s'il prend des nouvelles par l'intermédiaire de sa fratrie. Et il en veut son père aussi, même s'il lui parle quand même un peu.
• Tu as des frères/sœurs, tu peux nous en parler : Famille nombreuse. Il a un frère aîné, Fenrir, une sœur aînée, Leyna, une jumelle, Mathilda, un petit frère, Mikaela et une petite sœur, Astrid. Et il avait une autre jumelle, Freya qui s’est suicidée il y a quelques années... Il s’entend super bien avec tous de son avis et il les adore beaucoup beaucoup !
• Tu as une passion : Le kendo, il en fait depuis pas mal d'années et il adore ça. C'est la classe d'avoir un sabre entre les mains. Mais il fait aussi du karaté depuis moins longtemps et de l’athlétisme à l'école et il aime bien aussi. En fait, tous les sports lui plaisent. Ah, et la cuisine ! Il adore cuisiner et il est étonnamment doué, ses petits plats font le bonheur des papilles familiales et des autres personnes qui ont la chance d'y goûter. Il adore lire, que ce soit des mangas ou des romans, jouer aux jeux vidéos et en fait il a tellement de passions que c’est dur de faire le compte !
• Aimerais-tu quitter cette ville : Pas spécialement, de toute manière là où est sa fratrie il y est aussi et c’est pas prêt de changer.
• Comment vois-tu ta vie dans dix ans : Pro du kendo, avec sa première petite-amie peut-être (sa f-femme ?) et pleiiiin de gosses. Ouais, il adore les gosses.

Avant, la vie était simple. Avant, il n’y avait qu’insouciance, bonheur et présence. Le petit garçon qu’était Sylvester s’amusait à grimper sur le dos de son grand frère dès que celui-ci lui tournait le dos. Il regardait sa mère faire la cuisine avec de grands yeux émerveillés. Il essayait de l’aider au ménage malgré sa maladresse, faisant rire sa grande sœur. Il riait avec ses jumelles, installé comme si c’était parfaitement normal sur le lit de l’une d’elles. Son père l’emmenait à ses leçons de kendo et restait parfois un moment pour observer, Sylv’ était alors fier de lui montrer ce qu’il savait faire. Oui, avant tout était simplicité et innocence.

Né d’un père coréen et d’une mère suédoise, le cadet de la famille Seo essuyait parfois quelques moqueries, mais cela n’allait jusqu’au harcèlement scolaire. On l’appréciait, on appréciait son sourire, sa joie de vivre, son naturel, son innocence teintée de réalité. Il n’était pas naïf le petit métisse malgré ce qu’on pourrait croire et ses camarades d’école le comprirent vite. Il avait beaucoup d’amis, de son âge et même des plus grands. On le voyait souvent traîner avec ces yeux, avec une fierté dans les yeux qui ne laissait pas de place au doute. Il aimait être considéré et non pas méprisé juste parce qu’il était un gamin.

Mais il n’oubliait jamais ses vrais amis pour autant et ces derniers savaient qu’il serait toujours là pour leur tenir compagnie, pour disputer une partie de foot (même s’il avait tendance à se prendre les ballons) ou même pour les défendre si besoin. Il n’oubliait pas ses jumelles non plus, ni son petit-frère, ni ensuite sa petite sœur. Il gardait toujours un œil sur eux, même quand ils n’étaient pas ensemble. A cette époque, il ne se battait pas pour un rien, à cette époque il se battait pour protéger. Il esquivait plus qu’il ne frappait et utilisait ses cours de kendo efficacement pour se mettre en garde ou déstabiliser ses adversaires en criant. Cela se révélait assez efficace et en général tout se passait bien. A cette époque, sa famille le retrouvait rarement à l’infirmerie ou dans le bureau du directeur. A cette époque, il y avait suffisamment de témoins pour prendre sa défense si on  l’accusait de quoique ce soit.

Sylvester aimait passer du temps avec ses frères et ses sœurs. Il aimait poser sa tête sur les genoux d’une de ses jumelles pour lire un bouquin. Il aimait disputer une partie de jeu vidéo avec son père ou un de ses frères. Il aimait cuisiner avec sa mère et sa sœur. Il aimait fredonner les chansons de Disney et de dessins animés pour sa petite sœur. Il appréciait autant que les plus jeunes aller au magasin de jouets et revenait les bras chargés de trésors. A cette époque il pouvait sortir l’excuse que c’était pour un des cadets, même si dans la famille on ne le croyait jamais. A cette époque, il était un grand gosse insouciant plein de joie de vivre et d’innocence qui aurait préféré être Peter Pan pour ne pas jamais grandir.

Puis, tout commença à s’écrouler. Sylvester entendait souvent ses parents se disputer. Il sentait la tension dans l’air, invisible, mais vicieuse. Il frissonnait souvent et ce n’était pas toujours à cause du froid. Il ramenait ses bras contre lui, en proie à un mauvais pressentiment. Il cherchait encore davantage la compagnie de ses aînés et évitait plus ses parents. Il sentait que quelque chose n’allait pas. Et cela n’arrangea rien quand il retrouva un jour une de ses meilleures amies en pleurs car elle déménageait à cause du divorce de ses parents. Divorce... Il la réconforta et se dit à lui-même que cela ne voulait pas dire que les siens allaient en faire de même. Cela ne voulait rien dire, strictement rien, tous les couples se disputaient ou étaient parfois en froid pendant un temps. Mais ils ne divorçaient pas tous, il y avait encore de l’espoir.

Pourtant, l’espoir ne vint pas. Un jour, maman partit avec un autre homme. C’était peut-être, probablement, pire que le divorce. Sylvester ne ressentit pas grand-chose les premiers temps. Certes, il ne riait pas beaucoup, on le voyait souvent dans la lune, son sourire était forcé. Et il faisait des cauchemars, des cauchemars qu’il réussissait on ne sait trop comment à garder pour lui. Il ne s’agitait pas dans son sommeil, il ne criait pas en se réveillant en sursaut, de l’extérieur cela ne se voyait tout simplement pas. Mais à force d’autres choses se virent. Ses notes chutèrent, il se referma de plus en plus sur lui-même et un jour son père fut convoqué pour la première dans le bureau du directeur en compagnie de son professeur principal et du psychologue scolaire. Une bagarre avait eu lieu, bien plus violente que les autres à voir les blessures de guerre de son fils.

Ce soir-là à la maison, la dispute père – fils fut brutale. Sylvester eut des mots qu’il regretta par la suite et ne put contrôler sa colère qui explosa comme un volcan en éruption. Avec ironie, ce fut dans la cuisine qu’il se calma. Malgré les souvenirs amers et douloureux que sa mère lui avait donnés, c’était un peu son refuge. La famille eut droit à un festin ce soir-là, sans vraiment savoir pourquoi, même si certains devinaient qu’il avait juste voulu s’occuper. Ou se faire pardonner pour on ne savait trop quoi. Les plus attentifs voyaient les mains de leur frère trembler quand il posait les plats sur la table ou qu’il se contenta de grignoter.

Mais Sylvester étant ce qu’il était, cette période de renferment ne dura pas très longtemps. Le kendo l’aidait beaucoup à évacuer la tension et la colère qu’il ressentait. Même s’il fut rappelé quelques fois à l’ordre par son mentor pour des attaques un peu trop violentes à son goût. Après quelques mois, on commença à retrouver son sourire, puis son rire, ses blagues. On le voyait de nouveau passer du temps avec sa famille et arrêter de les éviter. Par contre, il refusait toujours de parler à sa mère et il continuait de se bagarrer un peu plus que nécessaire, dans le dos des adultes et même des élèves innocents. Il ne s’attaquait jamais aux plus faibles heureusement, il n’allait pas perdre son sens de la justice pour ça. Non, il attaquait ceux qui étaient assez costauds, assez vicieux pour se défendre. Et pour lui faire mal. Ce qui n’était peut-être pas aussi bien au fond. Les choses ne seraient jamais complètement comme avant. Et sa mort n’arrangea rien.

Il n’avait rien vu. Il était trop occupé à essayer d’évacuer la fureur qu’il ressentait, la haine inexpliquée qui l’envahissait dès qu’il pensait à sa mère ou son beau-père. Et il s’en voulut terriblement. Il n’eut pas le temps de s’avouer qu’il était heureux de retrouver sa mère même pour quelques instants. L’annonce fut trop brutale. Freya s’était suicidée. Il n’avait rien vu. Il n’avait pas vu qu’elle allait encore plus mal que lui. Le choc et la culpabilité furent comme un coup de massue sur la tête et un coup de poignard en plein cœur. Il n’entendait pas les pleurs, il ne voyait pas les larmes ni les visages fermés. Il se leva sans faire attention à rien ni personne et s’éloigna dans le couloir. Ce fut seulement une fois dans sa chambre à l’abri des regards qu’il se permit de craquer. Son poing cogna le mur à s’en faire mal et un cri de rage plus que de douleur sortit de ses lèvres, retentissant au moins dans l’étage. Il ne savait pas si au rez-de-chaussée, on l’avait entendu. Cela n’avait pas d’importance. Plus rien n’avait d’importance. Freya était morte. Freya n’était plus là. Et lui, lui n’avait rien vu, lui n’avait rien anticipé. Lui n’avait pas pu l’arrêter.

La famille n’était plus la même. Ne serait plus jamais la même. Leur mère resta peut-être quelques jours, quelques semaines ou quelques mois, Sylvester n’en savait rien. Il avait perdu le sens du temps. Comme son sourire et son innocence. Ses crises de colères semblaient quotidiennes maintenant. Violentes et imprévisibles. Il ne se calmait pas si on ne le prenait pas dans ses bras, si on ne le serrait pas fort sans le lâcher même quand il se débattait. Il lui fallait toujours plusieurs minutes pour se calmer, pour arrêter de crier, de jeter des choses autour de lui et sur les gens. Il fallait le débusquer quand il évitait tout le monde et se cachait dans des endroits improbables. Il fallait avoir de l’imagination pour le faire sourire et le faire rire.

Mais Sylvester n’était pas aveugle ni sourd. Il entendait les sanglots, il voyait les visages fermés, il voyait quand on se forçait à sourire ou rire, il sentait les cauchemars. Il savait qu’il n’était pas le seul à souffrir. Et cela lui faisait presque aussi mal que son absence à elle. Ce fut plus pour eux que pour lui qu’il accepta de voir un psychologue. Il ne voyait plus voir l’inquiétude dans les yeux de son père et de ceux des membres de la fratrie qui arrivait à surmonter leur propre chagrin pour voir que les autres n’allaient pas bien. Et il devait bien avouer que parler lui faisait du bien. Ce n’était pas toujours facile, il devait souvent se forcer, mais c’était probablement utile.

Son sourire était revenu. Tout comme une partie de son insouciance et de son caractère bien trop immature pour un garçon de son âge. Il cuisinait toujours pour lui et pour sa famille. Ses crises de colères et les bagarres n’avaient pas cessé, mais on le sentait plus vivant et c’était le plus important. Le reste s’effacerait sans doute avec le temps. Puis, la missive arriva, le surprenant. Il ne s’était pas imaginé assez bon, assez doué, assez efficace et motivé pour être invité à Blenheim. Il n’était pas le bon élève de la famille, mais pourtant elle était là. L’invitation pour l’établissement de prestige. Et cela serait con de refuser alors qu’une partie de sa fratrie y serait aussi. Et que ça lui permettrait de s’éloigner au moins en partie des souvenirs douloureux...

Non, Sylvester n’était pas le parfait élève, mais il savait faire des efforts, il savait faire semblant. Il savait mettre sa douleur de côté pour avancer, un pas après l’autre. Et rester toute la journée assis, que ce soit en Corée ou en Angleterre, ce serait pareil. Et le kendo, le karaté auquel il s’était essayé après la mort de Freya et le début de sa thérapie et le club d’athlétisme étaient là pour l’aider à canaliser son énergie et son humeur. La vie n’était pas facile, mais elle méritait quand même d’être croquée à pleines dents.
• Pseudo : Saphir
• Age : 24 ans
• Disponibilité : Souvent présente sur au moins un de mes comptes
• Comment tu nous as connu : Grâce à une Audrey sauvage !
• Des remarques : J'aime mon bébé Syl, sa famille et ce forum. Je vous aime tous en fait =w=
Sylvester Y-S Seo
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Invité
Mer 26 Juil - 17:38
Anonymous
ezkljfbelnkjgbrlkjghrflefbhkhgb
*roule partout*
*se cogne contre un mur*
*a mal mais continue de rouler*

SYLVESTERSYLVESTERSYLVESTER ♥
J'aime ce perso
J'aime nos liens
Jotem
VIVEMENT LE SYLRA 8DDDD

Bon courage pour la rédaction de l'histoire (que ton coeur en ressorte en un seul morceau plz qwq) ♥

*huuuuuuug* >w<
Invité
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Invité
Mer 26 Juil - 18:07
Anonymous
bonjour je t'aime au revoir
/out
Invité
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Mathilda H-J. Seo
Mer 26 Juil - 20:56
Mathilda H-J. Seo
Olympics
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FREROOOOOOOOOOOOOOOT ♥ ♥ ♥ *envoie plein d'amouuuuuuur*
Mathilda H-J. Seo
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Indra H. King
Mer 26 Juil - 21:02
Indra H. King
Citoyen Fosterhampton
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JTM
TU ENVOIS DU LOURD
*roule*
Indra H. King
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Tim Crawley
Mer 26 Juil - 22:15
Tim Crawley
Outrageous
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Multi-comptes : HUAN et Cody
Comme j'ai pas pus piqué le first a Quara, je prend le ... euh.. jsp combien de numéro mais je le prend!

Donc.

Sylvester.

...*gros gros hug plein de love et repart*

c'est tout ce que j'ai a dire.
Tim Crawley
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Sylvester Y-S Seo
Ven 28 Juil - 15:22
Sylvester Y-S Seo
Outrageous
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Age : 24
Multi-comptes : Noa A. White
Merciiiii les gens *roule* je vous aime ♥

Quara > Soulsister ♥ gngngngngngng j'aime aussi nos liens (SYLRA FOREVER), toi, tes personnages, keur keur sur toi ♥♥♥ mon coeur a survécu je crois :B merci encore !

Rhys > Bonjour. Je t'aime aussi ♥. Bye *dies*

Emily > Future jumeeeeelle ♥ owiiiii de l'amouuuur - le gobe pour recharger ses batteries et en donne aussi ♥ merci =w=

Indra > JTM AUSSI ♥ Merciiii QwQ ♥

Tim > Promis un jour t'auras un first :B *ronronne* merci pour le câlin et le commentaire ! ♥

Merci encore les gens vous êtes trop chou ;w; ♥ (oui j'aime distribuer des coeurs) et j'annonce que j'ai terminé ma fiche ! Et vu que le caractère était bien assez long j'ai fait que 1800 mots pour l'histoire *tousse et part en roulant*

Sylvester Y-S Seo
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Sir Foster
Sam 29 Juil - 1:35
Sir Foster
PNJ
Messages : 584
Joyeuse Validation
Bienvenue sur Le Palais de Blenheim & Félicitations pour ta validation !
Te voici désormais un Woodpecker de 2ème année ! ♥
Tu as maintenant accès à la zone RP ainsi qu'au lieu secret de ton groupe
Tu peux :
• Faire ta fiche de lien
• Poste ton téléphone
• Faire une demande de RP
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• Découvrir ta chambre ainsi que tes colocataires de départ! ♥

Tu peux également tenter de contrer Queen en utilisant le compte de M.O.N.A.R.C.H ! Les identifiants sont disponibles ci-dessous.


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Sir Foster
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