-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
EVENT 2 - PART. 2 • GROUPE REFECTOIRE
Aller à la page : 1, 2  Suivant
PNJ Intrigues/Event
Lun 16 Oct - 14:38
PNJ Intrigues/Event
PNJ
Messages : 96
Event 2 – Partie 2

   Tout était pourtant calme au sein du Palais après cette activité somme toute très mignonne. Les élèves avaient été renvoyés dans leurs chambres avant l’heure du dîner –sauf certains qui étaient restés au réfectoire ou à déambuler un peu dans les couloirs -  et tout paraissait reprendre son cours normal.

   Sauf qu’il y a eu un hurlement.

   Puis deux, trois et quatre. Finalement, c’est toute une cacophonie qui se déploie au cœur de l’établissement. Vous ne tardez pas à comprendre pourquoi, une odeur âcre se fait sentir bien vite. Une sombre fumée vient lécher les murs et bien vite l’évidence n’est plus à ignorer : Le Palais de Blenheim prend feu !

   C’est la débandade, tout le monde court dans tous les sens et l’hystérie semble prendre le dessus sur tout le reste ! Qu’allez-vous faire dans cette ambiance ? Courir ? Cela semble être le plus indiqué, en effet.

   Il semblerait que les flammes aient pris naissance dans les cuisines puis soient très vite remontées vers certaines colonnes des chambres via les canalisations, les fenêtres ouvertes et les sols.

   GROUPE RÉFECTOIRE ;
   Huan G. Levinsky
   U. Caitriona Muirhead
   Pavla Edly
   Youra Armyanski
   Quara A. Shelby
   Chin-Hue Ahn
   Lancelot Andrieux

   Vous êtes tout proche de l’épicentre des flammes! Décrivez donc ce que vous avez ressenti et ce que vous allez faire maintenant. Au besoin, un PNJ viendra vous aider dans la marche à suivre.
PNJ Intrigues/Event
Revenir en haut Aller en bas
Huan G. Levinsky
Lun 16 Oct - 17:51
Huan G. Levinsky
Hellhounds - Professeur de Tenue en société
Messages : 223
Age : 33
Multi-comptes : CODY et TIM
Yeah donc.
Déjà de un : fuck.
De deux : double fuck.
De trois : lel mdr on va tous crever.

Huan était juste en train de finir son café quand c'est arrivé, l'odeur d'abord, puis la fumée, les cries des gens, la chaleur et la gorge qui se resserre. Les flammes semblaient être venues de nulle part, c'était beau, franchement magnifique. Le feu, c'est une œuvre d'art vivante.
Et Huan était resté un instant bêtement à le fixer, un sourire de merde coller au visage, avant de se rendre compte que AHAH le feu, ça tue gros con.
Tout de suite c'était moins fun.
Il se retourna brusquement, regardant à peine qui était là, devait aussi avoir des gens qui étaient en chemin vers le réfectoire. « Tout le monde vers la sortie de secours ! Couvrez vos bouches avec du tissus ! »
Ouais.
Être un adulte. Ça craint.
Huan G. Levinsky
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Lun 16 Oct - 18:34
Anonymous
Elle a peur.
Quara reste plantée là, incapable de réagir. Elle sent son front devenir moite, ses yeux et sa gorge lui brûlent, son nez est irrité. Elle avait senti l'odeur, mais n'aurait jamais imaginé ce scénario dans ses pires cauchemars.
Ses cauchemars à elle, ce sont des lapins carnivores ou des labyrinthes hantés.
Certainement pas un incendie.

Sous l'avidité des flammes, une chaise en bois craque et se désagrège. Le bruit la fait sortir de sa torpeur d'un violent sursaut. C'est alors que la demoiselle prend l'ampleur du bordel : autour d'elle les gens courent, pleurent, hurlent à l'aide, et la panique des autres ne fait que rajouter à la sienne. Quara sent les larmes lui monter aux yeux mais les chasse avec son avant-bras avant qu'elles ne coulent. Puis elle se concentre.
A quelques mètres de là, l'Olympics voit Mr. Levinsky qui essaie de canaliser les étudiants et se souvient de ce qu'on lui a appris pendant les exercices. Cela l'aide à se détendre, mais il lui faut tout de même prendre sur elle pour parvenir à bouger les jambes - ironique, lorsqu'on la connait. Mais ce n'est pas le moment d'être une poule mouillée, des vies sont en jeu bordel de merde. Si le courage la fuit aujourd'hui, pourra-t-elle se regarder dans un miroir demain ?

Alors Quara court vers le professeur de bonne tenue et l'attrape par le bras. "Monsieur ! Je fais quoi ? J'appelle les pompiers ? Et si des gens sont bloqués dans les toilettes ? Est-ce qu'il faut que j'y aille ?" Pour les gens éventuellement coincés aux toilettes elle n'en savait rien, mais sans doute que les pompiers avaient déjà été contactés. Cela dit miss Shelby a encore plus de mal à réfléchir que d'habitude. Tout se mélange dans sa tête, bonnes idées comme scénarios catastrophe, et elle regarde le professeur comme s'il pouvait l'aider à s'y retrouver.
Mais surtout, elle le regarde avec une terreur que sa bravoure camoufle difficilement.
Les vraies questions ne sont-elles pas Monsieur, est-ce que l'école va brûler et nous avec ? Est-ce que je reverrai ma famille ?
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Ù. Caitrìona Muirhead
Lun 16 Oct - 23:33
Ù. Caitrìona Muirhead
Artist Alley
Messages : 53
Age : 26
Occupation : Étudiante - Apprentie Pâtissière
Multi-comptes : E. Kaelen Knightwalker
Bartholomew II Richardson
Ù. Caitrìona Muirhead
Nikolaus K. Nielsen
Harold C. Edly
Enola S. Beauchamp
Xavier W. Disney
Put your hands up.
Ta discussion avec Mr. Perrault avait été un franc succès. Ça t’avais remonté le moral et tu étais tout à fait partante pour une nouvelle mission cuisine !
Alors, tu descendis jusqu’à ton lieu de travail ce soir-là. Tu enfilas un tablier, noua tes cheveux et les enserra dans une charlotte immonde. Jusqu’au moment ou un hurlement retenti. Tu ne t’en rendis pas compte tout de suite, obnubilée par le dressage de tes macarons au foie gras et à la confiture de figue. C’est quelqu’un qui te bouscule qui te sors de ta rêverie.

- Muirhead, à quoi tu joues ! Évacue !

Il lève le nez, surprise par la voix bourrue de ton tuteur. Tu inspires soudain et, c’est le drame. Ta gorge te brûle, tes yeux piquent et tu te mets à tousser. Tu vas pour sortir mais, tu te prends les pieds dans une casserole qu’on a laissée en plan au sol et tu glisses sur son contenu. Tu te retrouves à terre, seule, parce que les autres ont évacué.

Tu attrapes un torchon que tu passes sous l’eau, tu le portes à ton visage et tu te redresse en t’appuyant sur un meuble. Malheureusement, le mobilier des cuisines est en métal et ton avant-bras brûle littéralement lorsque tu t’appuies dessus pour remonter.
Un hurlement de douleur s’échappe de tes lèvres alors que tu recules, mais le mal est fait, ta peau est grièvement blessée sur du coude au poignet gauche. Tu avances finalement, grimpe les escaliers et rejoint le réfectoire, la fumée a déjà envahi les lieux et les flammes également. Tu approches d’un petit groupe et aperçoit Pavla, ton amie. Tu te sens soulagée, tu n’es pas seule. Mais tu pleures. Oh pas de peur mais, de douleur. Ton bras et tes yeux n’en peuvent plus.
Alors tu plisses pour approcher de la brune.

- Pavla, tu vas bien ?

Tu es plus inquiète pour elle que pour toi pour être honnête. Tu observes autour de toi la débandade des gens qui cherchent les issues de secours. Toi, tu agrippes doucement le coude de ton amie alors que ton cœur s’emballe. Comment allez-vous vous en sortir ?
©️ Kendall - Toute copie partielle ou complète est prohibée
Ù. Caitrìona Muirhead
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Mar 17 Oct - 8:46
Anonymous
Le feu. L'un des quatre éléments indispensables aux hommes depuis la nuit des temps, pour se réchauffer, manger, et un tas d'autres choses. Le feu, elle ne l'avait vu que sous forme d'une flamme inoffensive au bout d'un briquet, tout en sachant parfaitement qu'il pouvait tout ravager sur son passage. Elle le savait, et pourtant elle n'imaginait pas ça. Alors quand les flammes apparurent brusquement dans la cuisine, elle resta juste figée là, à sentir sur sa peau et dans son corps, la chaleur étouffante du brasier. Elle était juste venue voir Cait après tout, boire un café, discuter tranquillement. Levinsky les avait rejoint, et ils parlaient de cet événement de dating professionnel qui n'avait rien donné de bien précis pour elle. Ce fut finalement la fumée toxique se répandant dans la pièce qui la sauva, alors qu'une quinte de toux la pliait en deux. C'est vrai, l'air frais restait en bas. C'était aussi le meilleur moyen de se faire bousculer, mais de survivre. Au milieu du brouhaha de panique et de crépitement des flammes, elle entendait Levinsky qui évacuait les élèves, sans le comprendre. Tout était gris et orange, ça sentait l'enfer. A partir de là, plus rien ne comptait sinon sa survie. Il fallait sortir d'ici, et tout semblait se dérouler au ralenti alors qu'enfin elle émergeait à l'air libre.

Quelqu'un crie son nom, agrippe son bras, et elle aperçoit enfin la chevelure rousse de Cait. Comment expliquer le soulagement intense qui l'envahit ? Elle ne savait plus où elle était, elle ne savait pas si son frère allait bien, ni où il était. Sûrement à l'extérieur, du moins elle l'espérait. En attendant, le cœur au bord des lèvres, les poumons en feu, des cendres dans les cheveux, et de la fumée dans ses vêtements, elle se jeta au cou de la jeune pâtissière, parce qu'elle avait beau être une rebelle solitaire et forte, elle n'en était pas pour autant une héroïne. Pourtant, elle commençait à s'inquiéter pour les autres. Dans les films, il y a toujours quelqu'un pour se faire piéger par une poutre, ou quelque chose comme ça. Et au milieu de tout ça, elle remarqua quelque chose. « Cait, ton bras… »
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Huan G. Levinsky
Mar 17 Oct - 13:44
Huan G. Levinsky
Hellhounds - Professeur de Tenue en société
Messages : 223
Age : 33
Multi-comptes : CODY et TIM
Tout le monde court, tout le monde doit se barrer de là. Huan commence à tousser, ils sont trop proche, ils sont beaucoup trop proche. Alors lui, ça le dérangerait pas de mourir comme ça, ça se trouve ce soir il va s'endormir et sauter d'un immeuble alors bon, tant qu'à faire, autant être réveillé et admirer les couleurs.

Oui. Oui mais les autres c'est pas pareil. Et Shelby lui attrape le bras, lui pose des questions et lui, bah lui il aimerait pouvoir la téléporter dehors. Parce que ce regard est terrifié. Il lui pause ses demains sur les épaules et essaye de sourire « Non, non tu n'y vas pas ! C'est aux pompiers d'faire ça. Toi tu.. Si t'veux aider, guides les autres dehors au plus vite ! Et surtout économise ta salive ! » C'est toi qui ça vraiment ?

Ses yeux piquent, il ne voit presque plus rien, la fumée est trop dense et noire et c'est dur de respirer, il peut sentir la suie se coller a sa peau et il peut apercevoir deux élèves en plein câlin. Mais wtf.

« VOUS FOUTEZ QUOI ? Bougez vous ! Faites ça en sécurité ! » Crier ne lui fait vraiment pas de bien.
Huan G. Levinsky
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Mar 17 Oct - 14:06
Anonymous
Malgré toute sa bonne résolution, Quara tremble comme une feuille. Sa poigne est loin d'être aussi ferme qu'elle ne le voudrait.

La fumée est désormais si épaisse que ses yeux sont secs, mais c'n'est sans doute pas ça qui fait remonter ses larmes. Non, c'est plutôt la réponse de Mr. Levinsky. Quara comprend sa réponse ; elle comprend que garder son calme est aussi important qu'aider les autres ; mais surtout, Quara comprend que c'est pas son job de risquer sa vie pour sauver les autres.
Et c'est con, mais ça la rassure. Elle sent comme un énorme poids lui quitter les épaules et hoche la tête en serrant les dents.

Puis l'adulte interpelle deux élèves et Quara se tourne vers eux - enfin elles. Dans le duo, elle reconnaît la tête rousse. "Cait !" Elle aurait pu lui hurler qu'il fallait sortir, courir la prendre par la main ainsi que la brune qui était à côté. Mais l'Olympics est prise d'une violente quinte de toux qui la plie en deux.
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Chin-Hae Ahn
Mar 17 Oct - 14:48
Chin-Hae Ahn
Hellhounds - Psychologue scolaire
Messages : 121
Age : 34
Multi-comptes : Conn4r.
Fumée. Cris. Toux excessifs. Panique. Peur. Le feu consumait tout ; même le bon sens. Réalisant rapidement que, oui, ce n’était pas une hallucination et essayant de se dire que ... Ce n’était pas l’oeuvre d’un démon, (right ?) Chin tenta de se calmer le premier. Sa main se posa rapidement sur l’épaule de l’élève qui passa à côté. Tremblant, toussant, désorienté. Il cherchait quelqu’un. Merde. « Laisse-nous nous en charger. Pour le moment, dirige-toi vers la sortie de secours. Conduis-y n’importe qui que tu croises. » Merde, merde, merde. Il en devenait vulgaire.
Et il ne pouvait même pas compter sur l’aide d’une entité spirituelle dans cette situation. Et il avait peur, mais il ne pouvait rien montrer. Confiant. Pas du tout. Maitrisé. Absolument pas. Une élève devant lui. Il allait lui répéter les mêmes instructions.

Mais elle crevait sous ses yeux. Il l’attrapa par les mains, attirant son attention vers lui. Toux. Fumée. Il avait besoin d’un tissu ; Elle avait besoin d’un tissu. Il lui tendit le sien. « On va te sortir de là, d’accord ? » Il n’arrivait pas à la reconnaître à cause de la fumée, de l’ambiance, de. Tout. Mais elle faisait la moitié de sa taille, et sûrement la moitié de son poids. Puis des cheveux verts. Vert. Joie de vivre. Une gamine, ffs. Il hésita ; puis, il n’hésita plus et il finit par la porter contre lui, faisant en sorte de la protéger de la fumée par ailleurs. Il était temps de se diriger vers la sortie.
Wait. Non.
» HUAN.
help.
Chin-Hae Ahn
Revenir en haut Aller en bas
Lancelot Andrieux
Mar 17 Oct - 14:50
Lancelot Andrieux
Artist Alley
(Toujours sur portable, meme combat)

Vous connaissez les exercices incendie du college et du lycée ? L'alarme qui s'enclenche en mode random, les eleves qui s'disent "cool gros, 15 minutes de cours en moins" en se levant a deux a l'heure en prenant soin d'prendre veste, sac et tel ?

Bah c'est ca.

Sauf que les anglais sont vaaaachement plus réac'.

Y a l'alarme et des gens qui s'leve en panique. J'pige que dalle. D'autre qui crie des trucs que je comprends pas.

J'comprends deja mal en temps normal. Mais avec la panique le rythme des mots s'accélère et moi j'suis paumé.

C'est qu'un exercice de toute facon.

Puis y a la fumée. J'ai la gorge qui arrache et les yeux qui chialent.

Oh putain de bordel de merde ta mere la pute. C'est pas un exercice ?

J'prends mes affaires et me leve d'un coup en mode panique. Et.

Et.

Et quoi ? J'dois faire quoi apres ? Sortir. Ouais c'est ca. Sortir. Mais par où ? Comment ?

POURQUOI MON CORPS IL BOUGE PAS PUTAIN ?
POURQUOI J'ME RAPPELLE PAS OU EST LA SORTIE ?
Lancelot Andrieux
Revenir en haut Aller en bas
Huan G. Levinsky
Mar 17 Oct - 17:11
Huan G. Levinsky
Hellhounds - Professeur de Tenue en société
Messages : 223
Age : 33
Multi-comptes : CODY et TIM
Ok mais nan. Nan, vraiment, ça devient irrespirable. A coté le mal de gorge d'une angine c'est que dalle. Il peut a peine ouvrir les yeux et se demande bien s'il ne commence pas à avoir des vertiges, il est pas sûr, il voit que dalle et il panique. Au pire il tombe, il crève et basta.

Ok calme, respire, ou pas.
Putain d'école de riche pas foutu de mettre des sprinklers au plafond ! Snobs inutiles !
Ahahah, il va pas bien du tout. Il a envie de hurler, de pleurer, c'est ça la panique ? Il sent ses poumons comme si on lui frottait du papier de verre à l'intérieur, son cœur se serrer et battre pour distribuer tant bien que mal le peu d'oxygène absorber, ça fait mal. Ça fait vraiment mal.

Et il bouscule quelqu'un, Dulac. Non, Andrieux, ouais. Qui semble traumatisé. Huan le force a s'accroupir, articulant du mieux qu'il peux. « L'air... Mieux près du sol... » Merde, il a dû trop crier tout à l'heure. « Par là ok ? Ha, la fumée, elle s'en va..par là. Si t'regardes bien. » Regarder, plus facile a dire qu'à faire.
« HUAN. » Oh ok, c'est son prénom ça. C'est Chin ? Non Chin peut pas crier, il lui a expliqué, que c'était mauvais pour sa santé. « Essaye de pas... paniquer, économise t-ton souffle ok ? » C'est limite s'il ne le pousse pas vers la sortie. Maintenant, le psy, parce que c'est bien le dénie, mais c'est faux aussi.
Il se dirige vers la voix, plus proche de l'échappatoire heureusement, enfin, il pense ? Il n'est plus très sûr. La masse-là c'est lui ? Avec une fille ? Shelby ? Merde, bordel de fleur a miel tient. Il lui tapote l'épaule pour signaler sa présence.
« Suis là, bien, vous ? Osef, go. » Ils n'ont plus le temps. Ils ne l'ont jamais eu en fait.
Huan G. Levinsky
Revenir en haut Aller en bas
PNJ Intrigues/Event
Mar 17 Oct - 18:02
PNJ Intrigues/Event
PNJ
Messages : 96
Event 2 – Partie 2
Dans un craquement sinistre, la porte menant vers l'extérieur du réfectoire cède. Deux poutres en proie aux flammes bloquent le passages. Que faire maintenant? Trouver une autre sortie serait assez indiqué.
PNJ Intrigues/Event
Revenir en haut Aller en bas
Ù. Caitrìona Muirhead
Mar 17 Oct - 19:37
Ù. Caitrìona Muirhead
Artist Alley
Messages : 53
Age : 26
Occupation : Étudiante - Apprentie Pâtissière
Multi-comptes : E. Kaelen Knightwalker
Bartholomew II Richardson
Ù. Caitrìona Muirhead
Nikolaus K. Nielsen
Harold C. Edly
Enola S. Beauchamp
Xavier W. Disney
Put your hands up.
Tu entends la voix de Quara et tu lui souris. Elle va bien pour l’instant, c’est le principal. Elle aurait dû s’enfuir au plus vite pourtant… Mais ça te rassure un peu.
Tu souffres. La fumée embue tes grands yeux verts, la suie se colle dans le fond de ta gorge et déclenche des quintes de toux de plus en plus forte. Tu serres plus fort le bras de Pavla. Tu as peur. Mais tu es la plus vieille des deux, tu ne peux pas sombrer dans la panique. Alors tu attires Pavla vers le sol, là où l’air est le plus respirable. Tu prends sa main dans la tienne et vous avancez vers la sortie. Vous êtes juste à côté lorsque la porte s’effondre. Tu as le temps de repousser Pavla en arrière et de te jeter sur le côté. Mais, les poutres se sont désolidarisées lorsqu’elles sont tombées au sol, envoyant quelques morceaux de bois autour d’elles.

Dont un dans ta jambe gauche. Tu te retrouves donc avec un tasseau de bois d’un centimètre d’épaisseur dans le mollet. Ça t’arrache un nouveau hurlement de douleur alors que des larmes perlent finalement de tes cils. Ça brûle. Tu regardes quand même autour de toi, rassurée de voir que tu es la seule que cette accident a touchée.

- Trouve une autre sortie Pavla, je te suis !

Ça sera difficile, probablement impossible d’ailleurs. Et ça y est, tu te vois mourir ici. Tous ces efforts pour en arriver là, c’est douloureux. Mais tant pis, tu auras vécu comme tu l’auras voulu. Tu aurais pourtant aimé pouvoir dire à Brume que tu l’aimes, à tes parents aussi. A ton père. Tu essaies de te relever mais tu ne peux pas tenir sur ta jambe. Alors tu restes à quatre pattes, avançant à tâtons dans la fumée et la chaleur.
©️ Kendall - Toute copie partielle ou complète est prohibée
Ù. Caitrìona Muirhead
Revenir en haut Aller en bas
Lancelot Andrieux
Mar 17 Oct - 20:18
Lancelot Andrieux
Artist Alley
Un prof’ sauvage apparait et lance l’attaque « sauvetage ».

J’m’r’trouve le cul par terre et OMG DE L’AIIIIIIIR !! Inspire, inspire, inspiiiiire.

Le prof’ parle et moi j’hoche la tête comme un con. Mais j’fais pas l’fier. Y a un PUTAIN D’INCENDIE dans cette baraque de merde !

Genre j’ai passé 10 ans dans des écoles à Marseille, c’était peinard, j’arrive dans une école pour bourge et Y A LE FEU.

Et pourquoi y a pas d’l’eau qui tombe du plafond ? SYSTEME ANTI-INCENDIE DE MEEEEEEEEEEEEEEEERDE.

« Essaie de pas paniquer » qu’il me dit. Non mais mdr y a le feu. Tu veux qu’j’fasse quoi ? Du yoga ? Bon, j’ferme ma gueule. Déjà parce que c’est genre dangereux d’la laisser ouverte, et ensuite parce qu’il m’indique la sortie.

Merci mec.

J’t’oublierai jamais.

ET JE FOOOOOONCE !!
Enfin. Autant que je peux foncer en allant à quatre pattes.

J’vois une porte. La sortie. La liberté. La surviva-

Ah non. WHY LES POUTRES ELLES TOMBENT NOW C’QUOI CETTE ECOLE EN CARTON ?

Oui quand j’panique j’dis (et fais) d’la merde. Problème ?

Y a d’autres gens, mais ils sont aussi bloqués que nous. Dont une meuf blessée.

Owi. J’mourrais pas seul. Joie.

Je rampe jusqu’à eux. Y a un autre prof’ et des élèves. On va aller loin. Mais malgré la panique, j’décide de faire honneur à c’con d’chevalier qui m’a donné son nom (ou alors j’ai juste pas DU TOUT envie d’être solo dans la fumée) et j’vais vers celle qui saigne.

Et qui a l’air de savoir qu’y a une autre sortie ?

« He meuf, ça va ? Tu peux avancer ? »

L’art de poser les questions useless.

« B’soin d’aide ? » J’me rattrape.

Puis si elle me rembarre j’peux toujours m’casser pour sauver mon cul.
Lancelot Andrieux
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Mar 17 Oct - 23:16
Anonymous
Help Quara est désorientée, elle se retrouve soudainement contre un torse (??) puis à ramper au sol puis-
La sortie qui disparaît
L'espoir qui s'éteint
Là c'est le moment de paniquer, ou pas ?

Quara se décide à regarder contre qui elle est réfugiée depuis tout à l'heure. Monsieur Ahn, donc. Elle regarde ensuite les alentours, voit Cait par terre - OMFG est ce que c'est une sorte de pic de bois qu'elle voit dépasser de sa jambe et du sang qui se répand autour ? Quara hurle un "Cait !" pour finalement s'étouffer avec une nouvelle quinte de toux.
Pourquoi tout tourne aussi mal ? Ils n'allaient quand même pas vraiment y rester, si ?
Non. Non. Non. Impossible. Elle ne voulait pas y croire, ne voulait pas mourir. Pas avant d'avoir revu sa famille.
Quara relève la tête vers le psychologue de l'établissement. "Monsieur... On va mourir ? Pas d'autre issue ?"
Tout ce qu'elle veut entendre, c'est qu'il y a une solution. Un pied de biche, une fenêtre, un accès réservé. N'importe quoi qui pourrait les sauver, lui permettre de revoir le jour. Mais Quara n'était pas assez familière avec les lieux pour connaître tous les accès. Et puis les fenêtres pouvaient s'avérer dangereuses, elles pouvaient soit exploser, soit créer un appel d'air.
M'enfin dans tous les cas, s'ils ne faisaient rien, ils allaient y rester.
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Mar 17 Oct - 23:42
Anonymous
La fumée couvrait le parfum de Cait. C'était tout ce à quoi elle pensa durant quelques longs instants, alors que Cait souffrait le martyr, et que tout cramait autour d'elle. On y voyait rien, on devinerait même pas que c'était une cuisine ici avant. Et finalement elle se reprend, s'écarte de la patissière et lève un regard un peu hagard sur les alentours. Peu de monde encore coincé. Levinsky, une fille avec les cheveux verts, le psychologue, et puis elles. Quelqu'un va forcément venir. Et dans le doute, tout le monde les engueulaient pour qu'elle se bougent et se dirigent vers la sortie. Et elle ne dit rien, elle se laisse entrainer, sa main dans celle de Cait. Et un grondement effroyable s'élève, alors que sous les yeux horrifiés, la porte cède, et deux énormes poutres s'affaissent juste devant elles, sous leur nez, et l'instant d'après elle en sent encore le tremblement sous ses fesses et sous ses doigts, parce que la rouquine l'a poussé en arrière. Elle sent bien un truc qui lui rentre dans le dos, une pierre ou un morceau de bois, mais c'est pas le moment de se lamenter. Elle comptera ses bleus et traumatismes plus tard, surtout devant Caitriona qui pleure de douleur devant elle. L'enfer. La pensée qu'ils allaient mourir là s'insinua en elle. Après tout, c'est souvent ça dans les incendies, les accidents. C'est rare que tout le monde s'en sorte. Ce n'était pas comme si Pav avait un rêve à accomplir, quelque chose à finir. Elle espérait juste du fond du coeur que Branko s'en était sorti, lui. Est-ce que c'était la même hécatombe dans tout le palais ? « Trouve une autre sortie Pavla, je te suis ! » Il fallait VRAIMENT qu'elle se reprenne. C'était plus drôle ou juste pas grave là. Alors elle s'en colle une bonne, qui a le mérite de lui remettre les idées en place. Le feu. La sortie bloquée, très bien. Et seule Cait semble blessée. Un mec s'approche, lui demande si ça va. « Aide-la, steuplait. Faut que je casse une vitre. » Ce n'était pas une question, il FALLAIT sortir d'ici coûte que coûte, et tant pis pour les frais de réparation. Cherchant autour d'elle dans la brume des larmes et de la fumée quelque chose d'assez solide, elle avisa une chaise que le feu avait épargné, et l'empoigna malgré les protestations des adultes. Elle n'avait rien pour se protéger, et de toute manière dans la panique, elle n'y pensa pas. Le pauvre mobilier s'écrasa avec force bruit contre la fenêtre qui s'éparpilla en mille morceaux. Du coude, elle entreprit de faire tomber les derniers morceaux qui auraient pu couper les gens en passant, sauf qu'elle ne réussit qu'à se couper elle. Bravo championne. Peu importe. « Par ici ! » cria-t-elle avant d'être interrompue par une quinte de toux.
Invité
Revenir en haut Aller en bas
PNJ Intrigues/Event
Mar 17 Oct - 23:48
PNJ Intrigues/Event
PNJ
Messages : 96
Event 2 – Partie 2
Bien, une potentielle sortie!
Ce pourrait être une très bonne nouvelle si le bâtiment n'était pas encore en train de gémir sous les flammes. Nouveau tremblement insidieux et voici que du plafond tombe des débris plus ou moins importants.

Youra, tu es enseveli sous les décombres!
Chin & Quara, vous avez échappés de justesse à la chute, vous pouvez donc partir par la fenêtre.
Cait, tu es bloquée avec Huan sous un morceau de plafond également.
Pavla, que vas-tu faire?

Une épaisse poussière prend place. Avantage, elle étouffe un peu les flammes alentours. Inconvénient : le reste du brasier est toujours bien actif, lui. Et la poussière n'aide pas à rendre l'air respirable.
PNJ Intrigues/Event
Revenir en haut Aller en bas
Huan G. Levinsky
Mer 18 Oct - 0:48
Huan G. Levinsky
Hellhounds - Professeur de Tenue en société
Messages : 223
Age : 33
Multi-comptes : CODY et TIM
Oh ok woah. Plus de sortie donc. Pas de problème, tout va bien, on a qu'à péter une vi-Ah bah la miss Eldly prend les choses en main.
Tant mieux, parce que lui n'arrive plus vraiment à respirer et lancer une chaise l'aurait probablement fait tourner de l’œil plus qu'autre chose. Surtout que bon, question force, on repassera. (si toi aussi tu es un spaghetti, hésite pas à le partager sur notre page [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Mais bien sûr, il ne peut pas rester là a rien faire, alors Huan s'avance vers l'élève blessée, après avoir lâché l'épaule de Chin qu'il avait serré machinalement en une espèce de réconfort pour le verre brisé et le sang. Après avoir dit « Ça iras. » à Shelby.

Alors il avance rapidement du mieux qu'il peut avec ses poumons en feu (mdr), la sueur qui se mélange avec de la cendre et les quintes de toux violente. Il faut la porter la Muirhead. Lancelot est avec elle, pour le moment, on dirait que ça s'arrange un peu, malgré que le feu prend de plus en plus de place, qu'il crépite, qu'il détruit.
Et d'un coup, il hurle.
Et tout est noir.
Huan G. Levinsky
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Mer 18 Oct - 8:21
Anonymous
Ohputaindebordeldemerdesamamanensalopette.
Quara a l'impression de cracher ses poumons quand le plafond s'effondre. Elle se retourne mais ne voit rien ; hurle "Vous  êtes en vie ?" mais sa voix n'est plus qu'un filin prêt à disparaître.
Quara reste tournée vers le décor post-apocalyptique quelques secondes, espérant entendre des voix malgré le vacarme des débris. Puis elle se retourne.

De l'autre côté, c'était le ciel. L'air. La liberté. Et cette fois-ci Quara ne peut pas s'en empêcher : ses larmes se mettent à couler, traçant deux sillons clairs sur la couche de suie mêlée de poussière qui recouvrait son visage. Elle hoquette en s'avançant vers la sortie et s'effondre au sol dès qu'elle est en sécurité. Quara est repliée sur elle-même, les bras autour du torse, la tête juste au-dessus de ses genoux. Toute ses forces s'évaporent comme neige au soleil, laissant voir la simple gamine qui vient de vivre l'expérience la plus effrayante de sa courte vie.
Elle est en vie.
Elle a survécu.
Jamais Quara n'a été aussi reconnaissante.

Plusieurs minutes s'écoulent avant qu'elle ne parvienne à apaiser ses sanglots. Elle finit par se relever, les yeux gonflés et le visage affreusement sale, se tourne vers l'enfer dont elle vient de sortir. "Il faut aller chercher de l'aide." Des gens étaient encore pris au piège là-dedans.
Sans trop réfléchir - Quara est bien trop sonnée pour ça -, elle se dirige vers l'entrée de l'école. Il y aurait forcément quelqu'un, là-bas.


(Post écrit depuis le téléphone, on ne juge pas s'il y a des fautes svp éè)
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Lancelot Andrieux
Mer 18 Oct - 8:54
Lancelot Andrieux
Artist Alley
(Sur portable toujours)

J Idea 'entends une voix (lol nope pas comme ca) qui m'dis Idea d'aider la meuf. Si tu trouves une sortie meuf y a pas d'soucis.



J'entends du verre qui s'brise et y a du mouvement dans la fumée au-d'ssus de moi.



'Fin j'suppose. J'ai les yeux qui piquent, j'vois que dalle. Mais j'sens d'l'air frais.



HALLELUIA. UNE SORTIE. LA LIBERTÉ. ON VA S'EN SORT-



Ah non. Le sol tremble -putain de merde un séisme ? en Angleterre ??- et y a un gros bruit qui me nique les oreilles.



Ok stop.



Temps mort.



Pourquoi y a un plot twist de l'enfer CHAQUE FOIS QUE JE ME RÉJOUIS POUR MA LIFE ???



J'tousse a m'en arracher la gorge. Ca nique les poumons sa mere. J'tourne la tete pour voir c'qui vient d'se passer et.



Et merde.



Merde merde merde merde merde merde merde merde merde merde merde merde MERDE MERDE MERDE !!!



Des trucs sont tombés du plafond. A ça de moi. La meuf qui saigne a pas eut ma "chance".



Le prof qui a lancé l'attaque sauvetage non plus.



J'dégage des débris, au moins pour qu'ils puissent respirer.



Omg. Et s'ils sont morts ???



J'essaye d'parler mais j'tousse comme un grippeux. "Hey ? Z'etes vivants ? Dites quelque choses j'sais pas. Oui ? Non ? Tartiflette ?"



J'hésite a les secouer, mais j'crois qu'c'est pas recommander.



Putain de merde.
Lancelot Andrieux
Revenir en haut Aller en bas
Ù. Caitrìona Muirhead
Mer 18 Oct - 10:07
Ù. Caitrìona Muirhead
Artist Alley
Messages : 53
Age : 26
Occupation : Étudiante - Apprentie Pâtissière
Multi-comptes : E. Kaelen Knightwalker
Bartholomew II Richardson
Ù. Caitrìona Muirhead
Nikolaus K. Nielsen
Harold C. Edly
Enola S. Beauchamp
Xavier W. Disney
Put your hands up.
La douleur te parcourt la jambe comme si on t’arrachait le mollet. Tu essaies de te relever, en vain. Jusqu’à ce qu’un garçon approche pour t’aider. Il a un fort accents a coupé au couteau. Tu lui offres un sourire doux, de remerciement, et prend sa main.

- Merci, et ça pourrait aller mieux je suppose.

Une grimace. Ce n’est pas réellement le moment de plaisanter, Cait. Mais tu souris quand même. Tu vois Pavla reprendre ses esprits et exploser une vitre. Parfait, vous allez pouvoir sortir. Tu es debout, tu grimaces sous la douleur, mais tu avances. Un professeur approche de toi pour t’aider, tu lui souris pour le remercier. Mais un craquement retentit, encore, tu lèves la tête et tu as juste le temps de voir le plafond s’effondrer sur vous.

Tu te retrouves alors de nouveau au sol, ensevelie avec ton professeur sous les décombres. Et puis, tu es à bout de force, tu sens quelque chose sur ton dos : une énorme plaque de béton. Tes côtes te font mal et tu as mal aux yeux.

Finalement, tu fermes les yeux. Tu n’arrives plus à lutter. Tu souris un peu, finissant par fermer les yeux et lâcher prise. Si c’est ça la mort alors, tu l’accueilleras. Parce que tu n’as plus envie de lutter. Ça fait trop mal.
©️ Kendall - Toute copie partielle ou complète est prohibée
Ù. Caitrìona Muirhead
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Mer 18 Oct - 10:12
Anonymous
Elle était encore la plus proche de la liberté. Elle aurait pu sauter cette fenêtre, respirer l'air sain et pur sans fumée toxique, mais déjà elle avait dû mettre trop de force dans son lancer de chaise parce qu'elle avait la tête qui tournait, et parce qu'il fallait s'assurer que tout le monde sorte. Alors elle s'agrippe au fronton de la fenêtre et elle attend en serrant les dents pour surpasser ses vertiges, quand un second grondement se fait entendre, le même que quand les poutres ont bloqué la sortie, et elle lève un regard plein d'effroi vers le plafond. « Attention ! » hurle-t-elle de sa voix enrouée avant de tousser, et tousser encore. Ses yeux brûlent, sa gorge et ses poumons brûlent, il manquerait plus que ses fringues et ses cheveux prennent feu avec toutes ces étincelles qui volettent dans l'air. Et l'instant d'après le plafond s'était détaché, et fonçait à toute allure vers le sol. Le psy, la fille aux cheveux verts et le mec inconnu s'en sortent, mais... « Cait, Levinsky !! » Pav abandonne tout, elle n'a même plus la force de marcher ou de hurler mais elle se précipite vers les gros débris et elle déblaie du mieux qu'elle peut pour dégager la rouquine et le prof. A côté, le mec jure et dit des trucs à la con, et elle se sent envahie par la panique à nouveau. Non non non, il ne faut pas. A travers ses larmes, elle cherche le meilleur moyen de les sortir de là, sans que tout se casse à nouveau la figure et soulève encore plus de poussière et de fumée. Elle avise un gros pan de plafond, pousse dessus comme elle peut avec toutes les forces qui lui restent, malgré sa toux, malgré ses vertiges et elle râle du plus fort qu'elle peut au gars « Arrête de dire des conneries putain, aide-moi à pousser ça !! » Ses mains glissent, elle s'étale de tout son long et s'assomme à moitié sur le bois, le plâtre, les pierres dans un gémissement de douleur, mais elle se relève, parce qu'ils doivent tout sortir d'ici. « Cait putain… Cait !! Levinsky ! Répondez ! » Même si elle se doutait bien qu'ils étaient évanouis, cette fois elle ne pleurait plus à cause de la poussière. Et sa gorge n'était plus enrouée à cause de la fumée.
Invité
Revenir en haut Aller en bas
PNJ Intrigues/Event
Mer 18 Oct - 13:27
PNJ Intrigues/Event
PNJ
Messages : 96
Event 2 – Partie 2

L'atmosphère commençait doucement à devenir invivable lorsque les flammes perdirent brusquement en intensité. De l'eau souillée coulait ds parois des murs, combattant les brasiers alentours.
Puis, depuis l'extérieur, une voix perce. "Il y a quelqu'un ici?! On ne peut rien voir avec cette fumée!"

C'est un pompier. Il n'attend qu'une réponse pour agir, apparemment.

PNJ Intrigues/Event
Revenir en haut Aller en bas
Huan G. Levinsky
Mer 18 Oct - 14:01
Huan G. Levinsky
Hellhounds - Professeur de Tenue en société
Messages : 223
Age : 33
Multi-comptes : CODY et TIM
...
Ça résonne. Ça siffle dans sa tête. Ça fait mal. Huan essaye d'ouvrir les yeux, il entend des sons, des cries. Quelqu'un? « Tar..tiflette? » Sa gorge est en feu, sa voix rauque. Il sent quelque chose couler sur son crâne, du sang ? Il est où déjà ? Pourquoi il est si lourd. Il n'arrive pas à bouger. Il n'arrive pas à respirer, pourquoi il a si mal ?
Puis d'un coup, il fait plus frais, il sent.. la pluie?
« P'tain d'météo anglaise..» Il ouvre les yeux.
Ah.
Ah oui. Effectivement pas étonnant qu'il souffre comme un chien. Il n'arrive toujours pas à bouger, pas même une main, pas l'énergie, il soupire, enfin il essaye, mais il tousse a la place -il est certain de cracher de la cendre- et son corps apprecie moyen de mouvement qui lui compresse les côtes, un miracle qu'elles n'ont pas cédé. Où elles l'ont ? Il ne sait pas trop.
Il entend un autre crie, de l'aide sûrement.
Laisse tomber, il peut pas répondre. Mais y'a les autres, Pavla qui essaye de déblayer frénétiquement, Lancelot... Il est où Youra ? Il est certain d'avoir vu ce gosse avant que tout tombe.
Ouais.
C'est bon.
Il peut se rendormir. Et étouffer en paix. Les pompiers sont pas loin.
S'il étouffe vraiment, est-ce qu'il deviendra aussi violet que ses cheveux ? Hm. On va le savoir dans pas longtemps.
Huan G. Levinsky
Revenir en haut Aller en bas
Chin-Hae Ahn
Mer 18 Oct - 17:41
Chin-Hae Ahn
Hellhounds - Psychologue scolaire
Messages : 121
Age : 34
Multi-comptes : Conn4r.
Bien sûr que non, personne n’allait mourir. Il aurait pu répondre. Mais Chin ne pouvait pas. Pas quand il essayait de ne pas tousser du sang devant Quara. Pas quand il essayait de se faire rassurant. Pas quand le plafond tombait tout simplement sur Huan, devant lui. Sous Cait, à ses côtés. Et qu’il ne savait absolument plus quoi faire. Son regard s’était posé sur la demoiselle qui avait causé tout ça. Sur celle qui avait cassé une fenêtre. Une. Fenêtre. Pendant. Un. FUCKING INCENDIE. Et pour une fois, il était juste en rogne. Et il aurait adoré pouvoir lui crier dessus, lui faire la leçon mais il devait se reprendre. La décision foireuse de la concernée avait crée une sortie. Et il n’était pas seul pour jouer les héros.
Quara. La petite Olympic.
Chin l’aida du mieux qu’il pouvait. Il voyait les larmes sur ses joues. Puis son coeur serrait beaucoup trop fort, mais il se maîtrisait. Ils arrivèrent enfin à sortir. Il essaya de la calmer ; Elle sanglotait. Puis, une fois apaisé, elle lui rappela le plus important. Chercher de l’aide. Il l’aperçut courir vers la sortie. Il hésita. Il regarda en arrière. Qu’est-ce qu’il pouvait faire ? Incapable de crier. Incapable d’éteindre l’incendie avec un super-héros.
Puis un miracle fut.
Des gouttelettes d’eau tombèrent sur ses joues. Rassuré. Pas du tout. Des saveurs. Ce n’était pas trop tôt. Ses élèves. Le personnel. Les professeurs. Les professeurs. Huan. Il était seul. Et Chin-Hae Ahn finit par abandonner. Du sang. Ses cordes vocales. M-rde. C’était une journée de malchance pure.
Help².
Chin-Hae Ahn
Revenir en haut Aller en bas
Lancelot Andrieux
Ven 20 Oct - 12:00
Lancelot Andrieux
Artist Alley
En vrai, j’hésite grave à les s’couer. Pour savoir s’ils sont vivants. Parce qu’ils ont l’air très mort.

ET CEY PAS RASSURANT.

Y a une autre meuf, celle qu’a pété la f’nêtre, qui m’gueule dessus parce que j’dis des conneries. Ouais bah chacun gère son stress comme il peut okay ?

Mais j’vais quand même l’aider à virer le truc qui est tombé. Et qui pèse une tonne sa mère. Help.

A deux on arrive à peu près à l’bouger, mais il écrase encore en partie sur les gens. Con de ta race, putaiiiin.

Et c’est là que je l’entends.

Le signal.

Tartiflette.

Je tourne ma tronche vers le prof’ et là.

« IL EST VIVANT !! » HALLELUIA.

Au même moment y a d’l’eau qui tombe du plafond. Les extincteurs ?



Les extincteurs.

Pourquoi personne a pensé aux extincteurs ? Y a TOUJOURS des extincteurs dans les écoles. Même dans les écoles en carton. SURTOUT dans les écoles en carton.

J’regarde autour de moi, mais avec la fumée j’vois que dalle. Même si y a moins d’fumée.

J’sais pas où sont les extincteurs.

« Dites les gens. Quelqu’un a pensé aux extincteurs ? »

J’dis ça, j’dis rien.

Puis y a une voix qui vient de dehors.

Ouais, un pompier c’est bien aussi. On est dans la merde donc on va pas s’plaindre.
Lancelot Andrieux
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
Sauter vers: